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PARIS, 22 juin 2011 (AFP) - Le président du Parti radical, Jean-Louis Borloo, a livré mercredi sa vision des ressorts de l'élection présidentielle de 2012.
Invité de "Questions d'Info" LCP/France Info/AFP, M. Borloo a estimé que la présidentielle "se jouera sur la réponse très pratique, pragmatique, opérationnelle, aux quelques sujets assez simples que se posent les Français".
Elle se jouera également, a-t-il poursuivi, "sur une vision -la stratégie française pour l'économie et l'industrie pour les dix ans qui viennent-", ainsi que "sur une attitude et un mode de gouvernance apaisé et rassembleur".
Répondant à ces détracteurs, alors qu'il a décidé de se prononcer à l'automne sur sa propre candidature, l'ex-numéro deux du gouvernement a lancé: "Quand nous n'avez jamais exercé de responsabilités, on vous dit que c'est un handicap et quand vous les avez exercées pendant neuf ans, c'est un handicap!".
"Moi, a-t-il dit, j'ai le sentiment qu'avoir mené la bataille de l'emploi, la bataille du Grenelle de l'environnement, la bataille de la rénovation urbaine (...) veut dire que, quand je dis quelque chose, j'en connais les obstacles, les difficultés et probablement un peu la méthode".
Pense-t-il "pouvoir être le prochain président de la République?": "Si je le pense, je serais à ce moment-là le candidat entre l'été et l'automne, à ma démarche et au rythme et au calendrier que j'ai toujours annoncé", a-t-il dit.
Interrogé sur ses relations avec le président Nicolas Sarkozy, M. Borloo a reconnu "quelques tensions" pour les justifier. "Qu'il y ait des tensions, c'est naturel. On ne peut pas dire: +on crée une nouvelle formation politique+, sans que cela crée ou de l'incompréhension ou de la compétition ou de l'inquiétude", a-t-il expliqué.
"Il est normal que l'on se voit de temps en temps pour ajuster les tensions inutiles", a-t-il dit, ajoutant que, lors de leur dernier entretien, dont il n'a pas donné la date, tous deux s'étaient "dit ce qu'ils avaient à se dire, ni plus, ni moins".
A propos d'éventuelles pressions exercées par l'UMP, il a affirmé: "Elles ne sont quand même pas insoutenables. Il ne faut pas non plus exagérer!". M. Borloo a déclaré aussi "ne pas se sentir surveillé".
S'agissant de la possibilité que M. Sarkozy nomme au gouvernement des proches de M. Borloo à la faveur du prochain remaniement, l'ex-ministre de l'Ecologie a répliqué: "Moi, je ne fais pas un bunker! Je ne suis pas en train de dire: +si tu es avec moi, tu ne peux pas aller au gouvernement+".
sm/rh/er
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La fédération de Seine-et-Marne du Parti radical appelle à l'union des candidatures de la droite et du centre pour les élections sénatoriales de septembre prochain.
L'objectif clairement établi est de reprendre le siège laissé au Parti communiste lors du scrutin de 2004.
Le Parti radical souhaite qu'une liste d'union de la majorité puisse être constituée avec l'UMP selon un schéma respectueux des forces en présence, avec la 3ème place réservée à un centriste (organisation
comparable à celle retenue par l'union de la gauche).
Si l'UMP ne parvient pas en interne à convenir de cette solution, les Radicaux appellent les 2 candidats centristes déclarés, Patrick Septiers (Modem) et Gérard Ruffin (NC), à unir leurs forces dans le cadre d'une liste de la nouvelle Alliance Républicaine, Écologiste et Sociale.
La complémentarité de leurs parcours, de leurs implantations territoriales et de leurs implications politiques serait seule de nature à maintenir les chances de ravir le siège détenu actuellement par un communiste.
James Chéron
Président du PR77
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SAINT-GILLES-DU-MENE, 17 juin 2011 (AFP) - Le président du Parti Radical, Jean-Louis Borloo, en visite vendredi dans les Côtes-d'Armor, a estimé que l'agriculture française avait "besoin d'une nouvelle mission de la nation".
"Je suis convaincu que l'agriculture française a besoin d'une nouvelle mission de la nation", a affirmé Jean-Louis Borloo, ancien ministre de l'Ecologie, lors de l'inauguration d'une usine de méthanisation à Saint-Gilles-du-Mené. "C'est là qu'il y a la plus grande pauvreté en ce moment: élevage, agriculture", a-t-il estimé.
Evoquant la méthanisation, un procédé qui permet de retraiter les déchets organiques et les effluents d'élevage tout en générant de l'énergie, M. Borloo a considéré qu'elle constituait "un message fort" envers l'agriculture française, un "pan d'activité qui ne sait plus trop où il en est, qui est un peu perdu". "L'alimentation, de qualité, et l'énergie font bon ménage", a-t-il jugé.
"C'est le Grenelle (de l'environnement, ndlr) qui prouve qu'il n'y a pas d'opposition agriculture et environnement, au contraire", a relevé l'ancien ministre.
"La meilleure énergie, c'est celle qu'on récupère d'autre chose, on ne peut pas faire plus sujet du 21e siècle", a-t-il insisté, soulignant que la méthanisation "transforme un problème en solution". "La société moderne, ce sera l'économie circulaire et toujours tout réutiliser, c'est ça la modernité", a-t-il ajouté.
L'usine Geotexia de Saint-Gilles-du-Mené, initiée il y a douze ans par une trentaine d'éleveurs de porcs costarmoricains, devrait traiter par méthanisation 35.000 tonnes de lisiers agricoles et 40.000 tonnes de coproduits issus d’entreprises agroalimentaires locales, selon Géotexia.
La méthanisation permet de produire du biogaz (méthane), qui alimentera un moteur de 1,3 MW électrique. L’électricité produite sera vendue à EDF.
La méthanisation doit contribuer à atteindre l'objectif du Grenelle de l'environnement de 23% d'énergies renouvelables en 2020. Elle doit atteindre une puissance électrique installée de 625 MW en 2020 et une production de chaleur de 555 milliers de tonnes équivalent pétrole par an, selon le gouvernement.
am/mcl/er
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PARIS, 14 juin 2011 (AFP) - Jean-Louis Borloo a affirmé mardi que la "machine" centriste était lancée, à l'issue de la première réunion de la direction nationale de l'Alliance, en affirmant que la majorité avait désormais "deux pieds" et qu'il ne craignait pas les pressions de l'UMP.
"La machine est maintenant lancée (...) la majorité a maintenant clairement deux pieds", a déclaré le président du Parti radical, l'une des quatre formations de l'Alliance -- avec le Nouveau centre, la Gauche Moderne et la Convention démocrate -- lors d'un très bref point de presse réuni à l'Assemblée nationale.
La réunion avait notamment pour but de permettre à chacune des formations de désigner ces membres au sein des instances de la confédération autonome des partis de centre-droit.
Sans évoquer de candidature à la présidentielle de 2012, M. Borloo a dit que les candidats de l'Alliance pour les élections sénatoriales de septembre 2011 seraient validées "dans quinze jours" et qu'une réunion de la commission électorale de la nouvelle confédération, présidée par François Sauvadet (NC) aurait lieu mercredi.
Une université d'été est également prévue les 10 et 11 septembre, dans un lieu qui reste à déterminer.
"Cette alliance a vocation, je vous le rappelle, à élargir considérablement la majorité sur son aile sociale, républicaine, européenne et écologiste", a souligné l'ancien ministre de l'Ecologie de Nicolas Sarkozy, entouré notamment des présidents du Nouveau centre, Hervé Morin, et de la Gauche Moderne, Jean-Marie Bockel.
"Notre pays a besoin de diversité. Les enjeux qui sont devant nous dans la décennie qui vient -- et la décennie commence cet après-midi -- ces enjeux là ne peuvent pas être monolithiques dans le cadre d'une seule formation politique, l'UMP, qui prétendrait pouvoir représenter toute la diversité de nos familles", a-t-il poursuivi.
Interrogé sur l'éventualité de pressions de l'UMP pour qu'il ne se présente pas en 2012, il a, comme sur Europe 1 dans la matinée, de nouveau répondu par l'affirmative: "oui il y en a, bien sûr il y en a".
"Ce n'est pas grave, les menaces ou les pressions n'ont jamais empêché des idées d'avancer", a-t-il ajouté.
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MARSEILLE, 7 juin 2011 (AFP) - Le président du Parti radical Jean-Louis Borloo serait le candidat préféré par les Français pour représenter le centre à l'élection présidentielle, selon un sondage OpinionWay à paraître mercredi dans l'hebdomadaire d'informations en ligne News of Marseille.
Interrogés sur la personnalité qu'ils préféreraient comme candidat du centre en 2012, 37% des sondés citent l'ancien ministre de l'Environnement, qui devance largement le président du MoDem François Bayrou, crédité de 22%, et l'ancien Premier ministre Dominique de Villepin à 17%.
Viennent ensuite le président du Nouveau Centre Hervé Morin (8%) et le sénateur centriste Jean Arthuis (4%). 12% des personnes interrogées ne se prononcent pas.
Jean-Louis Borloo arrive en tête dans toutes les catégories de l'électorat, à l'exception des sympathisants du MoDem. 43% des sympathisants de gauche, 52% de ceux de l'UMP et 33% de ceux du FN pensent ainsi qu'il serait le meilleur candidat du centre.
Ce sondage a été réalisé du 1er au 3 juin auprès d'un échantillon national représentatif de la population de 954 personnes âgées de 18 ans et plus, interrogées en ligne sur système Cawi (méthode des quotas).
tm/ppy/bfa
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Ci-dessous une interview de Jean-Louis Borloo, publiée ce jour dans le journal Les Echos.
Le président du Parti radical, qui ne cache pas son ambition d'être candidat pour l'élection présidentielle de 2012, détaille dans un entretien aux « Echos » sa conception de la fiscalité. Il soutient notamment la proposition d'intégrer les oeuvres d'art dans l'assiette de l'ISF.
Le projet de loi supprimant le bouclier fiscal et allégeant l'ISF est examiné à partir d'aujourd'hui à l'Assemblée nationale. Allez-vous le voter ?
Je ne me prononcerai pas tant que le débat n'aura pas eu lieu. C'est cela, le débat démocratique : avancer des arguments, chercher à convaincre, attendre de voir comment le texte évoluera. Je suis bien entendu pour la suppression du bouclier fiscal et j'ai moi-même déposé ou cosigné plusieurs amendements pour peser sur le texte proposé. Je soutiens la proposition d'intégrer les oeuvres d'art dans l'assiette de l'ISF, et j'ai même proposé d'aller plus loin. Je ne comprends pas que la taxation des plus-values sur les oeuvres d'art soit forfaitisée à 5 % du prix de vente ou à 8 % pour les métaux précieux. Ce sont aujourd'hui des marchés spéculatifs. J'ai donc proposé que ces plus-values soient taxées au même niveau que les autres. Quand il y a un accroissement de richesse, il doit y avoir un prélèvement universel. J'ai déposé par ailleurs un amendement pour fiscaliser les plus-values lors des cessions des filiales de groupes détenues depuis plus de deux ans. Qu'on aide les entreprises à s'internationaliser, d'accord, mais quand on vend une participation, au nom de quel principe cela devrait-il être exonéré ? Une taxation à 19 % rapportera 4 milliards d'euros.
Etes-vous favorable à une contribution spéciale sur les plus hauts revenus ?
Je suis pour la création d'une nouvelle taxation marginale d'impôt sur le revenu à 45 % pour la fraction supérieure à 150.000 euros par part. Mais au-delà de ces différents amendements que je souhaite, le collectif budgétaire n'est qu'un rendez-vous dans une réflexion bien plus profonde à mener sur notre fiscalité.
La fiscalité sera-t-elle au coeur de votre projet ?
Oui, car la fiscalité, avant d'être une technique, est le reflet d'un principe républicain : l'égalité, une égalité combinée à un objectif d'efficacité économique. Il faut ensuite dégager une méthode car une réforme fiscale réussie, c'est-à-dire pertinente et acceptée par les Français, ne se prépare pas à deux ou trois dans un bureau. C'est pourquoi je propose un « Grenelle de la fiscalité » associant toutes les parties prenantes. La fiscalité sera aussi au coeur de mon projet car le déficit budgétaire est immoral, injuste, il reporte sur nos enfants les errements du présent.
Comment conjuguer la justice et l'efficacité ?
Nous avons été très loin sur la défiscalisation de la rente, avec aujourd'hui neuf successions sur dix exonérées d'impôts. L'impôt doit être progressif dans tous les cas, sur les revenus du travail, mais aussi sur les revenus du capital. Les revenus du travail ne doivent pas être plus taxés que ceux du capital. Il faut aussi passer en revue toutes les niches, qui, rappelons-le, profitent trop souvent aux plus hauts revenus. Il faudrait en budgétiser une partie : ce serait au final moins coûteux pour l'Etat et cela obligerait à évaluer leurs effets tous les ans.
Etes-vous favorable à la fusion de l'impôt sur le revenu et de la CSG comme le propose le PS ?
C'est une réponse technique à une vraie question de fond : celle de la taxation du travail et du capital. Le travail est aujourd'hui plus taxé que le capital. Ce n'est pas normal. Il faut qu'ils soient traités de la même manière. Cette fusion peut être une solution, à condition que le dispositif soit le plus progressif possible, préserve le quotient familial et allège le coût du travail pour les entreprises qui embauchent.
Pourriez-vous relancer le débat sur la TVA sociale pour alléger les charges sociales sur les entreprises ?
Nous avons un problème manifeste de destruction d'emplois. Je propose d'alléger les charges sociales pesant sur le travail, par exemple en définissant avec nos partenaires européens les 10 secteurs les plus vulnérables à la concurrence internationale. Pour financer ces baisses de charges, nous devons avoir une approche créative, en prélevant une partie des richesses créées par la mondialisation : fiscalisation du carburant embarqué sur les navires, application d'un taux minimal de 0,005 % sur les transactions financières, taxation des flux financiers à destination des pays pratiquant le secret bancaire.
Vous ne parlez plus de la fiscalité écologique...
Bien au contraire. Je suis plus que jamais favorable à une taxe carbone, mais au niveau européen. Il n'y a pas d'autres solutions depuis la censure du Conseil constitutionnel en décembre 2009.
Etes-vous favorable au principe de la prime pour les salariés des entreprises dont les dividendes progressent ?
C'est une direction intéressante, mais les modalités sont imparfaites. Il est gênant que la prime ne s'applique qu'à une partie des salariés. Il faudrait par ailleurs trouver des critères pour ne pas exclure la fonction publique.
L'UMP se réunit en convention mercredi sur le thème de la « justice sociale », notamment pour débattre du RSA. Etes-vous favorable à une réforme des minima sociaux ?
Il doit y avoir un statut social digne et efficace pour ceux qui n'ont pas droit aux revenus d'allocations classiques. Il faut travailler à un nouveau statut d'intérêt général préparant au retour à l'emploi, et qui soit entre le RSA et le contrat aidé, avec un effort massif de formation vers les métiers qui recrutent. Je souhaite aussi proposer un nouveau plan de services à la personne.
Accepteriez-vous de retourner à Bercy pour remplacer Christine Lagarde si elle part diriger le FMI ?
Vous savez, je suis désormais engagé dans un autre temps politique. Je veux aujourd'hui travailler et m'investir pleinement dans le débat qui s'ouvre face aux Français.
Craignez-vous que Nicolas Sarkozy cherche à « débaucher » certains de vos amis pour vous affaiblir ?
Les radicaux comme les centristes participent au travail de la majorité. Si le chef de l'Etat propose à l'un de mes proches de rejoindre le gouvernement, je ne m'y opposerai pas. Ma démarche ne se veut pas en opposition avec qui que ce soit. Je veux, avec méthode, porter un projet pour une France juste, devant tous les Français.
Quelle est votre réaction aux propos ce week-end de Nicolas Hulot vous concernant?
Le développement économique et l'emploi viennent déjà, et viendront plus encore demain, de la croissance verte et de la transition énergétique.
Qu'est-ce qui pourrait vous faire renoncer à vous présenter à la présidentielle ?
Une seule chose m'importe pour l'heure : dialoguer en profondeur avec les Français. Et pour le reste, je l'ai dit, rendez-vous entre l'été et l'automne.
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PARIS, 30 mai 2011 (AFP) - Le président du Parti radical Jean-Louis Borloo affirme sa volonté d'être candidat "pour gagner " à l'élection présidentielle, dans un entretien à la Voix du Nord à paraître mardi, tout en précisant qu'il se prononcera officiellement sur sa candidature entre l'été et l'automne.
"Je me prépare pour gagner !", explique l'ancien ministre de l'Ecologie en évoquant "une préparation, physique et mentale à mener", ainsi qu'une "réflexion sur le président (qu'il) souhaite incarner".
Interrogé ce qui pourrait le faire renoncer à être candidat, comme le risque d'un 21 avril à l'envers pour Nicolas Sarkozy, le patron des radicaux marque sa détermination: "Quant aux éventuelles pressions qui pourraient me faire renoncer, ça n'existe pas!"
"Cela fait des années que je me prépare à cette éventualité et j'ai le sentiment que c'est le moment, que la présidentielle va se gagner au profit de celui ou celle qui anticipe mieux les évolutions de la société française et qui va correspondre à ses attentes", poursuit-il.
S'agissant du moment où interviendra sa probable déclaration de candidature, Jean-Louis Borloo dit rester "totalement en phase avec le calendrier (qu'il s'est) fixé".
"Personne ne m'en imposera un autre", affirme l'ex-numéro deux du gouvernement Fillon en soulignant que "la réponse publique" sur sa candidature sera "exprimée entre l'été et l'automne".
pr/sm/ct
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La vidéo du 111ème Congrès du Parti radical est disponible ICI sur le site de LCP.
Tous les discours et interviews du dimanche 15 mai sont à regarder, avec en dernier passage Jean-Louis Borloo. Et pour ceux qui douteraient encore de l'envie des radicaux de jouer un rôle majeur dans la prochaine élection présidentielle (et dans toutes les échéances d'ailleurs), rendez-vous directement avec Yves Jégo à la minute 68 !
Evidemment les Radicaux de Seine-et-Marne étaient venus en nombre, de chacune des circonscriptions de notre vaste département et dès le samedi pour participer aux tables rondes et au vote (dont une petite partie a posé pour la photo souvenir d'avant retour). Le président départemental que je suis les remercie pour leur engagement, leur enthousiasme, leur confiance aussi.
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PARIS, 27 mai 2011 (AFP) - Le président du Parti radical, Jean-Louis Borloo, candidat potentiel des centristes de la majorité à la présidentielle, se rendra du 1er au 3 juin au Québec pour aborder la question de "l'assainissement des finances publiques" traitée au Canada sous la forme d'un "Grenelle".
Depuis le congrès du Parti radical qui a entériné son adhésion à la Confédération des centres et sa sortie de l'UMP, l'ex-ministre de l'Ecologie multiplie les déplacements thématiques, tel un futur candidat à la présidentielle en pré-campagne.
Après avoir abordé lundi le thème de l'éducation dans une école de Drancy, le patron des Radicaux s'est rendu vendredi dans le Val-de-Marne pour évoquer celui de "la dépendance".
Mardi, il abordera la question du "service à la personne" dans son fief de Valenciennes avant de s'envoler mercredi pour le Québec où il restera trois jours pour parler de "l'assainissement des finances publiques", rencontrer la communauté française de Montréal et l'opposition québécoise.
"Les Québécois ont adopté un processus de réduction de la dette publique digne d'un Grenelle à la Borloo (artisan du Grenelle de l'Environnement, ndlr) en réunissant autour d'une même table le ministère des Finances mais aussi des entreprises, des partenaires sociaux, afin de proposer une méthode acceptée par tous et demandant les efforts de chacun", explique le Parti radical.
M. Borloo avait dit le 15 mai lors du congrès radical vouloir "mettre la France en projets", "ouvrir les chantiers prioritaires" dont la France a "absolument besoin". Il a prôné notamment la mise en place de "Grenelle" sur l'"éducation", "la fiscalité", "la justice fiscale" ou "l'égalité réelle".
pr/mat/DS
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