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19 septembre 2008

Commentaires

GDC

Allons donc !
Je vois, à la lecture de la lettre, que les certains fournisseurs, payant leurs impôts sur le territoire, ne sont donc pas une priorité. C’est évident.
Le festival, lui non plus, ne paye pas toutes ses factures. Alors, il ne reste plus que l’association Sisley, pour prêter de l’argent.
J’avais oublié, c’est déjà fait. 10 000 € tout de même. Pourquoi ne pas demander au Sepam, à l’Ocalm ou encore aux Amis de Moret de venir à la rescousse du Navire OTSI. Je propose une quête à lors de la fête 1900.

Zorro

le president des amis de Sisley mais biensur c'est le president de OTSI c'est le conseiller municipal chargé du commerce et du tourisme c'est le representant de moret à la communautée de communes etc........................
Le cumul des mandats n'est pas limité?

Méphisto

Bonjour ? Me voilà,
Je vais vous parler d’un temps que les moins de vingt ans, et autres officiels, tous confondus ne connaissent pas, ou bien veulent-ils oublier de toute la force de leur mauvaise foi !
En ce temps là… ils étaient tous bénévoles, (oui ce mot est toujours dans les dicos), qui se donnaient à fond, avant, pendant et après le festival.
Pour aujourd’hui, je ne parlerais que des Petites Mains, très douées, qui se donnaient un mal de chien à coudre de magnifiques costumes ; Je pourrais citer des noms, mais je risquerais d’en oublier, et ça ! Je ne me le pardonnerais pas, car certaines ont disparues, en nous léguant un patrimoine culturel et artistique de grande valeur, c’est notre patrimoine communal.
Où sont tous ces travaux, d’études, de recherches et de confections, pourquoi ne pas les avoir exposés lors de la journée du patrimoine ?
C’est vrai, des responsables culturels nouvellement installés ne sont pas au courant, certes ! Mais certains anciens, toujours aux affaires, connaissent ce passé prestigieux, mais oui, prestigieux !
En ce temps là… c’était, la « belle époque » ou le Festival, et le SI, gagnaient de l’argent, pour preuve ?
La sortie des jeunes bénévoles, en bus pour des destinations festives, et joyeuses, ensuite la soirée pour les adultes, soirée de joie, festive au possible, une fois toute l’intendance payée.
Je pourrais vous en parler, tenez, comme un ancien combattant, c’est vrai certaines soirées étaient dures, très dures, à canaliser tout le public venu applaudir, photographier et féliciter, tous les acteurs, et les participants, je me souviens de joyeuses pagailles.
Je sais les temps changent, les spectacles aussi, mais alors ? Si d’autres festivals se sont créés, ou modernisés et gagnent de l’argent, pourquoi celui de Moret est-il tombé en quenouille ?
Ha ! Diable pourquoi ais-je donc pris la parole déjà ?

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