PARIS, 20 mai 2010 (AFP) - Un des trois etarras, arrêtés jeudi matin à
Bayonne, ferait partie du commando de l'ETA impliqué le 16 mars dans
une fusillade en Seine-et-Marne qui a entraîné la mort d'un policier
français, a-t-on appris de source policière.
L'information n'a pas été confirmée de source officielle. Dans un premier temps, la même source avait avancé que ce participant à la fusillade mortelle pourrait être le chef présumé de l'appareil militaire d'ETA, Mikel Karrera Sarobe dit "Ata".
Il a été interpellé par la police judiciaire interrégionale de Bordeaux, le RAID ainsi que la Direction nationale anti-terroriste (Dnat), jeudi matin, avec deux autres etarras présumés, une femme et un homme. Ce dernier pourrait être la personne impliquée dans la mort du policier français.
"La piste se vérifie", selon la même source policière, précisant que l'arrestation de Bayonne serait pour partie liée à l'enquête sur la fusillade.
Le 16 mars en début de soirée un commando de l'ETA avait ouvert le feu sur une patrouille de police du commissariat de Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne) lors d'un contrôle qui a mal tourné, tuant Jean-Serge Nérin, un brigadier de 52 ans.
Une arme de poing de calibre 9 mm (357 Magnum), dont le numéro de série a été limé, avait été saisie sur les lieux de la fusillade. Selon une source judiciaire espagnole, cette arme faisait partie d'un lot de 350 armes de poing volées par un commando de l'ETA le 23 octobre 2006 à Vauvert (Gard).
rb/sla/db
L'information n'a pas été confirmée de source officielle. Dans un premier temps, la même source avait avancé que ce participant à la fusillade mortelle pourrait être le chef présumé de l'appareil militaire d'ETA, Mikel Karrera Sarobe dit "Ata".
Il a été interpellé par la police judiciaire interrégionale de Bordeaux, le RAID ainsi que la Direction nationale anti-terroriste (Dnat), jeudi matin, avec deux autres etarras présumés, une femme et un homme. Ce dernier pourrait être la personne impliquée dans la mort du policier français.
"La piste se vérifie", selon la même source policière, précisant que l'arrestation de Bayonne serait pour partie liée à l'enquête sur la fusillade.
Le 16 mars en début de soirée un commando de l'ETA avait ouvert le feu sur une patrouille de police du commissariat de Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne) lors d'un contrôle qui a mal tourné, tuant Jean-Serge Nérin, un brigadier de 52 ans.
Une arme de poing de calibre 9 mm (357 Magnum), dont le numéro de série a été limé, avait été saisie sur les lieux de la fusillade. Selon une source judiciaire espagnole, cette arme faisait partie d'un lot de 350 armes de poing volées par un commando de l'ETA le 23 octobre 2006 à Vauvert (Gard).
rb/sla/db
Commentaires