En compagnie d'Arbaud Labouze, mon collègue conseiller municipal, je suis allé assister, samedi soir, à la représentation des 3 Mousquetaires sur les bords du Loing ; la même pièce de théâtre que l'an dernier, raccourcie d'une bonne demi-heure.
Si le cadre environnant est toujours aussi resplendissant (le Loing, le pont, le moulin, l'Église, le tout pour une fois éclairé !), je ne peux que regretter, encore une fois, un spectacle sans grand entrain, avec un son et des lumières faiblards...
Je continue à m'interroger sur l'intérêt de faire perdurer ce qu'il ne convient de toutes façons plus d'appeler un "festival", qui coûte cher financièrement (sans parler d'un droit d'entrée à 12€ en démesure, me semble-t-il, avec la prestation proposée !) et ne remplit pas son devoir, ni en terme de divertissement, ni en bonification de l'image de notre cité.
Décidément, nous ne pouvons que continuer à regretter les grands spectacles de sons et lumières d'il y a quelques années...
Monsieur Chéron,
Cher James,
Outré par la critique de notre festival, je me suis permis d’écrire ce qui suit à Monsieur Jean-Marie ALBOUY : et je me vois obligé de vous servir le même « refrain » !
Cher Monsieur,
Je me permets d’intervenir sur votre « journal du net » afin de vous demander pourquoi et de quel droit, vous, Monsieur ALBOUY-GUIDICELLI, vous intervenez sur notre festival ?
Sans attendre de réponse, je vous dirais que : il est mal venu de critiquer un ( ?) festival, hautement confidentiel, d’une telle confidentialité que l’on n’ose même pas faire davantage de publicité, extérieur à Moret, en tous les cas, je n’en ai pas vu à Montereau.
Comment donc avez-vous fait, pour entendre parler de ce ( ?) festival ? Qui nous a trahi, qui à « déchiré » le secret, qui est-donc Ce Maître qui vous a initié ?
Ce Festival ( ?) qui n’appartient qu’à nous, enfin, excusez-moi, qui n’appartient, qu’à un microcosme mort-éteint (pléonasme), joué par lui-même et uniquement pour lui seul, pour leur seule satisfaction….
Maintenant, vous osez parlez du Public ? Mais qu’est-ce donc le public, les spectateurs ne réussissant même pas à être des « faire-valoir », manquant ainsi totalement de respect à ce rassemblement, d’artistes ? de comédiens ? de saltimbanques ? de baladins ?, d’histrions ? de Théatreux ? (Rayez les mention, pas toutes inutiles !)
Quels comédiens, ils nous feraient pleurer de rire, si cela n’était pas aussi dramatique…
Alors, les spectateurs, dès l’instant où ils ont payé pour voir, ils peuvent se retirer quand bon leurs semble !
Donc je me pose la question ; Qui vous à donc permis de critiquer « notre festival »
Je ne vous fustigerais pas davantage, je devais même avoir de l’indulgence, car vous mettez du baume en mon cœur en nous parlant « DU » FESTIVAL
L’un des tous premiers FESTIVAL de France, qui réussissait à fédérer tout au long de l’année, Gentes Dames et Bons Messieurs, avec toute la marmaille de jeunes enfants, d’ados, pour qui participer à ce merveilleux spectacle était une vraie fête !
Mais le plus important, Cher Jean-Marie, est qu’à l’époque, metteur en scène, décorateur, électriciens (son et lumière), les entrepreneurs qui intervenaient sur le site du festival, tous étaient bénévoles !
BÉNÉVOLE adj, 1282, lat : benevolus: désintéressé, gracieux, gratuit, je ne peux vous donner les contraires…
Allez Cher Jean-Marie, venez me voir et par une belle et chaude soirée d’été, je vous conterais l’histoire du merveilleux Festival… Qui commence ainsi :
Il était une fois, un Homme de génie, un Maitre, un savant, un historien, par amour de sa ville, eu cette idée fabuleuse et totalement désintéressée….
Voilà, maintenant que les comptes sont réglés, je peux vous assurer de toute mon amitié.
Méphisto
Rédigé par : Mephisto | 13 juillet 2009 à 14:48