Rédigé à 18:30 dans Parti radical, Yves Jégo | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Inscrits : 3155
Votants : 1927 / Blancs-Nuls : 26
Exprimés : 1921
11. Yves Jégo - PR-UMP : 751
10. Geneviève Buffard - Debout la République : 19
9. Virginie Recher - FN : 201
8. Yannick Guillo - PRG : 9
7. Marie-Lise Geffroy - PEI : 36
6. Dominique Lioret - DVD : 24
5. Patricia Inghelbrecht - PS : 730
4. Jean-Luc Maillot - FG : 96
3. Catherine Van Cauteren - LO : 0
2. Alain Aucouturier - POI : 3
1. Nora Cherifi - NPA : 6
Rédigé à 22:57 dans Moret-sur-Loing et ses environs, Parti radical, Yves Jégo | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Inscrits : 68091
Votants : 23607
Nuls : 507
Exprimés : 41704
Jégo (PR-UMP) : 15739 - 37,74%
Buffard (DLR) : 311 - 0,75%
Recher (FN) : 6893 - 16,53%
Guillo (PRG) : 383 - 0,92%
Geffroy (PEI) : 641 - 1,54%
Lioret (DVD) : 675 - 1,62%
Inghelbrecht (PS) : 14388 - 34,5%
Maillot (FG) : 2086 - 5%
Van Cauteren (LO) : 206 - 0,49%
Aucouturier (POI) : 170 - 0,41%
Cherifi (NPA) : 166 - 0,40%
Rédigé à 22:40 dans Moret-sur-Loing et ses environs, Parti radical, Yves Jégo | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Les Français ont décidé de porter à la présidence de la république le candidat socialiste. Les Seine-et-Marnais, pour leur part, ont fait le choix de Nicolas Sarkozy à une courte majorité de 50,75%, plaçant le président sortant en tête dans 8 des 11 circonscriptions du département.
Le printemps électoral n’est pas terminé puisque les électeurs vont choisir, dès les 10 et 17 juin prochains, les députés qui les représenteront à l’Assemblée nationale.
Les Radicaux de Seine-et-Marne appellent donc les forces militantes, citoyennes et populaires de la droite et du centre à poursuivre la mobilisation et à jouer la carte du rassemblement. La gauche tient désormais la présidence de la République, le Sénat, la Région et le Département. L’esprit de pluralité, de diversité qui doit faire vivre la République nous oblige à préserver l’Assemblée nationale hors d’un monopole rose-vert-rouge propre à déséquilibrer totalement les politiques publiques dans note pays.
Dans le cadre d’une coalition qu’ils souhaitent renforcée, les Radicaux de Seine-et-Marne s’engagent donc totalement dans la campagne législative pour faire gagner les candidats de la droite et du centre, selon les règles suivantes : soutien aux députés sortants se représentant, y compris dans la 2ème circonscription où Didier Julia sera candidat en suppléance de Valérie Lacroute, et engagement sur le soutien au 2ème tour au mieux placé des candidats du 1er tour issus de cette coalition pour les 2 nouvelles circonscriptions, par nature plus ouvertes.
Les candidats soutenus par le parti radical en Seine-et-Marne :
1ère circonscription : Jean-Claude Mignon
2ème circonscription : Valérie Lacroute
3ème circonscription : Yves Jégo
4ème circonscription : Christian Jacob
5ème circonscription : Franck Riester
6ème circonscription : Jean-François Copé
7ème circonscription : Yves Albarello
8ème circonscription : Chantal Brunel
9ème circonscription : Guy Geoffroy
10ème circonscription (pas de député sortant) : Antonio de Carvalho
11ème circonscription (pas de député sortant) : Hervé Kiteba Simo
Rédigé à 16:59 dans Moret-sur-Loing et ses environs, Parti radical, Un peu de politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Mercredi à 20 heures, salle des fêtes à Sivry-Courtry (rue de l'église), les Radicaux de Seine-et-Marne organisent une grande réunion de soutien à Nicolas Sarkozy avec Jean Leonetti, ministe chargé des affaires européennes, et Yves Jégo, député.
A l'instar de Jean-Louis Borloo, les Radicaux de Seine-et-Marne sont totalement mobilisés derrière Nicolas Sarkozy pour faire triompher la seule voie qui permette de préserver note modèle social : celui de la maîtrise des comptes publics.
Rédigé à 15:06 dans Parti radical, Un peu de politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
"Les Français conscients de l’immense enjeu de cette élection pour leur avenir se sont largement mobilisés. Cette forte mobilisation ainsi que le score historique du Front National nous interpellent sur la nécessité pour les Français d’avoir un cap clair pour affronter les défis de la crise que nous traversons.
Pour nous, Radicaux, aujourd’hui tout l’enjeu est de répondre aux attentes des Français : l’indispensable accompagnement des plus fragiles par la préservation de notre modèle social tout en maitrisant nos comptes publics.
Alors que la non maîtrise des comptes publics, clairement inscrite dans le programme de François Hollande, nous amènera inévitablement à l’austérité sociale, le choix doit être clair dans 15 jours : nous soutenons la France forte, portée par Nicolas Sarkozy, qui doit plus que jamais prendre en compte les enjeux sociaux et humains.
Nous en appelons à une France qui sache allier fraternité, solidarité et relance économique.Plus que jamais, nous en appelons à une France forte et juste."
Rédigé à 11:00 dans Parti radical, Un peu de politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Après avoir un temps songé à se présenter à l’élection présidentielle, l’ex-ministre d’Etat à l’Ecologie a rallié Nicolas Sarkozy. Mais il compte peser sur le programme.
Le programme de Sarkozy vous satisfait-il ?
Jean-Louis Borloo. C’est un programme courageux, le seul qui soit précis sur la réduction des dépenses.
J’observe qu’un certain nombre de recettes correspondent à ce que j’avais proposé avec le Parti radical le 4 février, comme la taxe sur les transactions financières ou celle sur les grands groupes. Je souhaiterais qu’on y ajoute une réduction des déductions fiscales des achats de PME par des fonds de pension. Cela pourrait rapporter 4 Mds€ supplémentaires à l’Etat.
Vous le signez donc, des deux mains ?
Oui, mais il faut l’accompagner d’un nouveau pacte de croissance et d’emploi, comme le plan de cohésion sociale en 2005, sur le logement, la formation… Ce pacte s’articulerait autour de trois points. Point no 1, le financement de long terme des PME. Nous disposons en France de près de 200 Mds€ d’épargne. Une partie est dans les banques. Il faut mettre 30 Mds€ de cette épargne à disposition des entreprises de taille moyenne ou intermédiaire. Point no 2, il faut que l’Etat stratège lance des Grenelle des filières pour supprimer les blocages et augmenter la croissance et l’emploi de chaque filière. Dès l’été, il faut lancer 20 groupes sur 20 filières.
C’est-à-dire ?
Agir sur les filières, c’est réunir tous ses acteurs. Exemple, la filière bois : on a la plus grande forêt d’Europe ; or, c’est le premier poste de déficit commercial français après le pétrole : 7 Mds€! La filière, c’est à la fois les normes, les capacités industrielles, la distribution, la fiscalité, la formation, la communication, bref, tous les acteurs, de la production à la consommation. On doit être capables d’élaborer en un an une vraie stratégie pour cette filière. Il y a 20 grandes filières en France, de l’énergie à l’automobile en passant par la santé ou les services à la personne.
Et votre troisième point ?
Nous avons été au secours des banques et Etats surendettés. Il faut aussi le faire pour les familles françaises surendettées qui ont connu un accident de la vie. Je souhaite qu’il y ait un grand plan sur le surendettement, que les établissements de crédit abandonnent 80% de leurs créances sur les ménages surendettés de bonne foi, afin de leur permettre un nouveau départ. Il faut étendre la faillite civile qui existe déjà dans le Haut-Rhin et en Moselle.
Sarkozy vous écoute-t-il pour sa campagne ?
On se parle régulièrement, et notamment sur les sujets qui me tiennent à cœur, l’emploi et l’aide aux plus fragiles.
Avez-vous, comme lui, le sentiment que dans cette campagne les syndicats font trop de politique ?
Certains ont peut-être envie de coller à Jean-Luc Mélenchon. Le Parti communiste se redresse grâce à lui…
Qui associeriez-vous à votre pacte de croissance ? François Bayrou ?
François Bayrou a payé le prix de son indépendance, c’est très respectable. Il est en campagne, il dit des choses, fait ses propositions. Respectons sa liberté, son indépendance et surtout le temps de sa campagne présidentielle. Ne pensons pas que ses convictions soient achetables. Après, qu’il puisse y avoir des points de convergence de programme, de projet… Il y aura ou non des discussions, mais, en tout état de cause, cela ne se fera que sur des convictions. Ceux qui pensent à des promesses de maroquins se trompent.
Vous le verriez à Matignon ?
Il est libre, il parle aux Français, je ne veux pas perturber sa campagne aujourd’hui. C’est une question de respect, même si je suis centriste comme lui et que nous venons de la même famille politique. Mais ce à quoi je crois, c’est à la nécessité d’une force centrale, centriste, radicale, d’écologie positive. Et cette force, j’ai bien l’intention de la faire peser à l’avenir. Elle aura des candidats aux législatives. Peut-être en parlerons-nous ensemble, après la présidentielle, s’il le souhaite. Ce n’est pas l’actualité du jour.
Y a-t-il des choses qui vous gênent dans la campagne de Sarkozy ?
Comme dans toute alliance. On est indépendants de l’UMP, on n’est pas fabriqués pareil, c’est le propre des coalitions : à l’Assemblée, on n’aura pas les mêmes positions sur tout.
Après cinq ans à la tête du pays, vous pensez qu’il peut impulser un nouveau départ au pays ?
Oui. Et quand il dit « J’ai appris, j’ai compris », je crois que c’est vrai. Sur l’éducation, les banlieues, la maîtrise des comptes publics, la compétitivité et l’emploi, la croissance verte, il peut transformer la France. Parce qu’il a quelque chose de transgressif, il aime l’action publique, avec tous les risques d’incompréhension et le courage nécessaire pour les réformes.
Regrettez-vous d’avoir renoncé à vous présenter à la présidentielle ?
J’avais jugé, dès le mois d’août, qu’il y aurait une finale et une demi-finale, que cette demi-finale se jouerait entre l’extrême gauche et l’extrême droite et qu’il était peu probable que le centre puisse être présent au second tour. Je l’ai écrit dans mon livre. Je n’ai donc aucun regret.
Vous pensez encore à Matignon ?
Ce n’est pas dans mon champ de vision et de préoccupation aujourd’hui.
Marine Le Pen est encore un danger selon vous ?
Je vois comme vous les sondages… Contrairement à une idée reçue, je trouve que le pays est plus apaisé aujourd’hui qu’il y a dix ans. L’intégration française a progressé considérablement, ainsi que le vivre-ensemble. Le racisme a reculé. Bref, je suis assez optimiste.
François Hollande a-t-il l’étoffe d’un président ?
Nicolas Sarkozy est plus dans la modernité de la compréhension du monde. En cas de crise, je crois profondément qu’il est l’homme de la situation, comme il l’a déjà prouvé. Chez Hollande, au PS en général, je ne trouve pas de vision pour un monde en mutation.
L’incident nucléaire de Penly ne souligne-t-il pas l’absence de débat à ce sujet dans la campagne ?
C’est un incident de classe 1 sur une échelle de 7. Notre mix énergétique est en train d’évoluer. Pour preuve, la réussite de l’appel d’offres du programme des éoliennes en mer cette semaine, qui créera 10 0 00 emplois. La croissance verte du Grenelle est en marche.
Rédigé à 12:26 dans Parti radical | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Il est "radicalement" lancé ! Hervé Kiteba-Simo a inauguré sa permanence de campagne (législative !) samedi dernier devant plus de 120 élus et militants de la 11ème circonscription de Seine-et-Marne.
Créée à la faveur de la dernière loi sur le découpage des circonscriptions, pour permettre au territoire de Sénart à la démographie croissante d'être mieux représenté à l'Assemblée nationale, cette "11ème circo" a presque déjà été l'objet d'une tentative de hold-up ! Car la gauche l'a décrêté : la 11ème lui est acquise.
Tant et si bien que le PS a parachuté un aparatchik, un proche de françois Hollande forcément, lui aussi déjà élu Président de la Républiqe, bien sûr.
Hervé Kiteba-Simo, élu à Savigny-le-Temple qui fait un travail d'autant plus remarquable qu'étant dans l'opposition il n'a aucun moyen à sa disposition, relèvera ce défi avec énergie, conviction et, j'en suis sûr, succès.
C'est d'ailleurs tout à fait symboliquement qu'il a élu domicile de campagne à Cesson, commune dont la gauche s'était aussi fait une chasse gardée, avec un autre aparatchik, Vert cette fois, qui s'en est allé en cours de mandat municipal. Et devinez ? La gauche a perdu la ville, immédiatement, reprise par une équipe qui gère aujourd'hui sans sectarisme, sans dogmatisme, avec apaisement et sans faire régulièrement la "une" de la presse locale...
Hervé, mon fidèle Secrétaire général du PR77, que la force soit avec toi !
Rédigé à 07:51 dans Parti radical | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Chère Amie, Cher Ami,
Le 4 février, lors de notre dernière Convention nationale, nous avons travaillé et débattu de nos exigences, attentes et priorités pour les cinq années à venir afin de répondre à la crise et d’armer la France face aux défis du 21ème siècle.
Ces exigences - qui sont à la fois le fondement de notre identité, les conditions de notre engagement et notre vision de l’avenir – ont été alors transmises à nos partenaires de l’actuelle majorité et à son candidat.
Il est alors apparu, en dépit de points de désaccords, que certaines de nos priorités étaient entendues et reprises : l’engagement d’introduire une dose de proportionnelle, la création d’une taxe sur les transactions financières, la poursuite de la réforme du financement de la protection sociale, la priorité, en matière d’accès à l’emploi des jeunes, donnée au développement de l’apprentissage et de l’alternance.
Le 10 mars dernier, lors de notre 112ème Congrès, qui fut à la hauteur des enjeux qui sont devant nous, et où chacun a pu s’exprimer en toute liberté, nous avons fait le choix, à une très large majorité, et afin de créer les conditions de la victoire en 2012 :
- de réaffirmer l’indépendance politique du Parti Radical ;
- de construire une nouvelle force politique et parlementaire centrale ;
- d’exprimer un soutien vigilant et exigeant à Nicolas SARKOZY.
Depuis, notre volonté de construire une France qui ne peut être forte que si elle est juste a trouvé un nouvel écho dans les propositions formulées par le candidat de la majorité. Il s’agit notamment de :
- la création d’un impôt pour les exilés fiscaux ;
- l’évolution nécessaire de l’Union européenne ;
- la taxation des grands groupes du CAC 40 qui échappent largement à l’impôt sur les sociétés ;
- la poursuite de l’immense chantier de la rénovation urbaine des banlieues ;
- l’exonération de charges sociales des artisans qui ne réalisent pas de chiffres d’affaires, ou de celle de l'embauche de chômeurs de plus de 55 ans qui obtiennent un CDI ou un CDD de plus de six mois.
J’estime aujourd’hui que l’essentiel de nos exigences radicales ont été entendues.
Aussi, à maintenant 30 jours du premier tour de l’élection présidentielle, à l’heure des choix, pour peser pleinement dans le débat présidentiel, nous devons nous engager pour construire cette France forte et juste que nous appelons de nos vœux.
En effet, plus que jamais, il importe que la lutte contre les fragilités qui frappent les plus faibles soit au cœur du débat et du projet : fragilités des familles de bonne foi surendettées, des enfants devant l’échec scolaire, des territoires et de leurs ressources, des salariés précaires en proie aux difficultés d’accès au logement, des jeunes devant la formation… Ces fragilités, le Valenciennois les connait et les combat depuis longtemps. C’est donc à cette fin que j’ai souhaité la venue de Nicolas SARKOZY demain sur ce territoire, terre radicale par ses valeurs de justice et de progrès, et socle de mon engagement politique.
Les réalisations que j’aurai à lui présenter sont autant d’illustrations de lutte contre les fragilités et de ce que nous pouvons bâtir ensemble pour une France force et juste.
Pour peser sur le projet, engageons-nous maintenant, sans rien renier de ce que nous sommes et de ce que nous croyons.
Vous pouvez compter sur ma plus grande détermination à faire triompher nos idéaux et nos convictions, ils sont de surcroît les gages de la victoire.
Amitiés radicales,
Jean-Louis BORLOO
Rédigé à 18:23 dans Parti radical, Un peu de politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)