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Collège Alfred Sisley, Moret-sur-Loing. Ils n'ont pas de formation musicale préalable, et pourtant ils ont tous un instrument entre les mains, la posture des habitués, et ils entrainent leur auditoire dès les premières mesures.
"Ils", ce sont ces enfants qui participent à cette expérience de classe d'orchestre. Vous les avez peut-être découverts dans le 20h de TF1 (ou sinon vous pouvez le faire ci-dessous). Mais surtout, vous pourrez les retrouver samedi 9 juin à 14 heures au Festival Montereau Confluences (Parc des Noues, Montereau-fault-Yonne).
Moi aussi dans mes plus jeunes années, avant de jouer dans des orchestres de "grands", j'ai été en classes d'orchestre ; avec des jeunes qui apprenaient la musique. Pas sûr que ça ait toujours été beaucoup mieux ! Bonne continuation à toutes ces graines de musiciens !
Journal de TF1 : http://videos.tf1.fr/jt-20h/ils-encouragent-les-formations-musicales-en-classe-7101201.html
Rédigé à 08:56 dans Moret-sur-Loing et ses environs | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Quand une trentaine de dauphins s'échouent sur une plage, et sont sauvés par les personnes présentes. Juste parce que ça fait du bien...
Rédigé à 07:28 dans The world we live in | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
19 fois ministre, 3 fois président du Conseil : voilà de quoi faire rêver François Hollande à qui ni François Mitterrand ni Lionel Jospin n'ont jamais proposé de siéger au gouvernement, lui préférant chaque fois sa Royale épouse.
Henri Queuille - puisque c'est de lui dont il s'agit -, Corrézien, ressort de l'histoire depuis quelques temps. Il faut dire que François Hollande lui voue un véritable culte de terroir : buste en plâtre ciré dans son bureau au Conseil général de Corrèze, remise à neuf du musée qui lui est consacré dans ce département, et même un timbre émis par La Poste à sa demande à l'effigie de cet homme des IIIème et IVème Républiques. Un timbre à 1€, quasi 2 fois le coût d'un timbre normal ; un signe de la grandeur façon Hollande ?
Henri Cueuille donc, dont la France découvre qu'il est un mentor de François Hollande, et dont il m'est loisible de faire redécouvrir à chacun quelques-unes de ses plus célèbres citations, comme se plait à le faire François Baroin lors des réunions publiques :
"Il n'est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout."
"La politique ne consiste pas à faire taire les problèmes, mais à faire taire ceux qui les posent."
"Quand vous êtes embêtés, embrouillez tout !"
Comme inspirateur, on fait mieux !!!...
Rédigé à 10:08 dans Un peu de politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Après avoir un temps songé à se présenter à l’élection présidentielle, l’ex-ministre d’Etat à l’Ecologie a rallié Nicolas Sarkozy. Mais il compte peser sur le programme.
Le programme de Sarkozy vous satisfait-il ?
Jean-Louis Borloo. C’est un programme courageux, le seul qui soit précis sur la réduction des dépenses.
J’observe qu’un certain nombre de recettes correspondent à ce que j’avais proposé avec le Parti radical le 4 février, comme la taxe sur les transactions financières ou celle sur les grands groupes. Je souhaiterais qu’on y ajoute une réduction des déductions fiscales des achats de PME par des fonds de pension. Cela pourrait rapporter 4 Mds€ supplémentaires à l’Etat.
Vous le signez donc, des deux mains ?
Oui, mais il faut l’accompagner d’un nouveau pacte de croissance et d’emploi, comme le plan de cohésion sociale en 2005, sur le logement, la formation… Ce pacte s’articulerait autour de trois points. Point no 1, le financement de long terme des PME. Nous disposons en France de près de 200 Mds€ d’épargne. Une partie est dans les banques. Il faut mettre 30 Mds€ de cette épargne à disposition des entreprises de taille moyenne ou intermédiaire. Point no 2, il faut que l’Etat stratège lance des Grenelle des filières pour supprimer les blocages et augmenter la croissance et l’emploi de chaque filière. Dès l’été, il faut lancer 20 groupes sur 20 filières.
C’est-à-dire ?
Agir sur les filières, c’est réunir tous ses acteurs. Exemple, la filière bois : on a la plus grande forêt d’Europe ; or, c’est le premier poste de déficit commercial français après le pétrole : 7 Mds€! La filière, c’est à la fois les normes, les capacités industrielles, la distribution, la fiscalité, la formation, la communication, bref, tous les acteurs, de la production à la consommation. On doit être capables d’élaborer en un an une vraie stratégie pour cette filière. Il y a 20 grandes filières en France, de l’énergie à l’automobile en passant par la santé ou les services à la personne.
Et votre troisième point ?
Nous avons été au secours des banques et Etats surendettés. Il faut aussi le faire pour les familles françaises surendettées qui ont connu un accident de la vie. Je souhaite qu’il y ait un grand plan sur le surendettement, que les établissements de crédit abandonnent 80% de leurs créances sur les ménages surendettés de bonne foi, afin de leur permettre un nouveau départ. Il faut étendre la faillite civile qui existe déjà dans le Haut-Rhin et en Moselle.
Sarkozy vous écoute-t-il pour sa campagne ?
On se parle régulièrement, et notamment sur les sujets qui me tiennent à cœur, l’emploi et l’aide aux plus fragiles.
Avez-vous, comme lui, le sentiment que dans cette campagne les syndicats font trop de politique ?
Certains ont peut-être envie de coller à Jean-Luc Mélenchon. Le Parti communiste se redresse grâce à lui…
Qui associeriez-vous à votre pacte de croissance ? François Bayrou ?
François Bayrou a payé le prix de son indépendance, c’est très respectable. Il est en campagne, il dit des choses, fait ses propositions. Respectons sa liberté, son indépendance et surtout le temps de sa campagne présidentielle. Ne pensons pas que ses convictions soient achetables. Après, qu’il puisse y avoir des points de convergence de programme, de projet… Il y aura ou non des discussions, mais, en tout état de cause, cela ne se fera que sur des convictions. Ceux qui pensent à des promesses de maroquins se trompent.
Vous le verriez à Matignon ?
Il est libre, il parle aux Français, je ne veux pas perturber sa campagne aujourd’hui. C’est une question de respect, même si je suis centriste comme lui et que nous venons de la même famille politique. Mais ce à quoi je crois, c’est à la nécessité d’une force centrale, centriste, radicale, d’écologie positive. Et cette force, j’ai bien l’intention de la faire peser à l’avenir. Elle aura des candidats aux législatives. Peut-être en parlerons-nous ensemble, après la présidentielle, s’il le souhaite. Ce n’est pas l’actualité du jour.
Y a-t-il des choses qui vous gênent dans la campagne de Sarkozy ?
Comme dans toute alliance. On est indépendants de l’UMP, on n’est pas fabriqués pareil, c’est le propre des coalitions : à l’Assemblée, on n’aura pas les mêmes positions sur tout.
Après cinq ans à la tête du pays, vous pensez qu’il peut impulser un nouveau départ au pays ?
Oui. Et quand il dit « J’ai appris, j’ai compris », je crois que c’est vrai. Sur l’éducation, les banlieues, la maîtrise des comptes publics, la compétitivité et l’emploi, la croissance verte, il peut transformer la France. Parce qu’il a quelque chose de transgressif, il aime l’action publique, avec tous les risques d’incompréhension et le courage nécessaire pour les réformes.
Regrettez-vous d’avoir renoncé à vous présenter à la présidentielle ?
J’avais jugé, dès le mois d’août, qu’il y aurait une finale et une demi-finale, que cette demi-finale se jouerait entre l’extrême gauche et l’extrême droite et qu’il était peu probable que le centre puisse être présent au second tour. Je l’ai écrit dans mon livre. Je n’ai donc aucun regret.
Vous pensez encore à Matignon ?
Ce n’est pas dans mon champ de vision et de préoccupation aujourd’hui.
Marine Le Pen est encore un danger selon vous ?
Je vois comme vous les sondages… Contrairement à une idée reçue, je trouve que le pays est plus apaisé aujourd’hui qu’il y a dix ans. L’intégration française a progressé considérablement, ainsi que le vivre-ensemble. Le racisme a reculé. Bref, je suis assez optimiste.
François Hollande a-t-il l’étoffe d’un président ?
Nicolas Sarkozy est plus dans la modernité de la compréhension du monde. En cas de crise, je crois profondément qu’il est l’homme de la situation, comme il l’a déjà prouvé. Chez Hollande, au PS en général, je ne trouve pas de vision pour un monde en mutation.
L’incident nucléaire de Penly ne souligne-t-il pas l’absence de débat à ce sujet dans la campagne ?
C’est un incident de classe 1 sur une échelle de 7. Notre mix énergétique est en train d’évoluer. Pour preuve, la réussite de l’appel d’offres du programme des éoliennes en mer cette semaine, qui créera 10 0 00 emplois. La croissance verte du Grenelle est en marche.
Rédigé à 12:26 dans Parti radical | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Je souhaite à tous les chrétiens mais aussi aux juifs de très joyeuses fêtes de Pâques.
A l’origine une fête païenne qui annonçait l’équinoxe de printemps, Pâques est chez les chrétiens la célébration de la résurrection de Jésus-Christ, le troisième jour après sa Passion. C’est le jour le plus saint du calendrier chrétien, qui marque la fin du jeûne du Carême.
Chez les juifs, Pâque (Pessa’h) commémore la sortie d’Égypte, la naissance d’Israël en tant que peuple et célèbre plus généralement la liberté.
Rédigé à 20:15 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
La "e-campagne" bat son plein ! Sites, blogs, listes de diffusion pour des envois dématérialisés, et bien évidemmet les réseaux sociaux avec principalement Facebook et Twitter. Les campagnes électorales de 2012, présidentielle et législative, sont résolument internautiques !
Enfin pas pour tout le monde... Il reste encore quelques irréductibles, parfois moustachus comme l'étaient les gaulois, qui restent scotchés aux anciennes méthodes. Quitte à polluer nos villages, nos vues et nos vies. Des affiches de gens qu'on ne voit jamais nul part fleurissent partout !
Une jeune socialiste dont seuls les initiés connaissent l'existence et ont parfois du mal à reconnaître la photo s'est ainsi affichée sur tous les murs. Pas très écolo tout ça, mais les méthodes de bonne conduite ne devaient pas être incluses dans l'accord électoral(iste) avec les Verts. On sacrifie notre industrie nucléaire et notre indépendance énergétique par la même occasion, mais on n'est même pas capable de soi-même éviter de polluer partout. Affligeant...
Et puis un moustachu un peu fou, qui se prévaut du soutien de ceux qui l'ont renié, a décidé d'en faire de même. Transformateurs, ponts, tout y passe. Jusqu'aux panneaux d'affichage associatif, illustrant bien le manque de respect qu'a l'individu pour tous.
Une sorte de brigade sévit ceci dit depuis quelques semaine, faisant la chasse aux "candidats pollueurs" en sur-collant des bandeaux pour tenter de leur faire prendre conscience de leur incivisme autant que de leur ridicule. Un peu comme les groupes qui font la tournée des zones industrielles la nuit pour couper les éclairages publicitaires qui ne servent à rien, en débranchant simplement (sans dégrader) les alimentations électriques. Un acte citoyen en quelques sorte.
Ces candidats, qui affichent pour s'afficher mais ne proposent strictement rien, ont-ils un tel défaut de notoriété ou un tel égo à satisfaire qui ne leur permette pas, à l'instar d'Yves Jégo, d'attendre que les panneaux de la campagne officiele leur soient dévolus ???
Rédigé à 13:15 dans Moret-sur-Loing et ses environs, Un peu de politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
J'ai reçu ma nouvelle carte d'électeur, comme tout le monde, et un peu comme vient le Beaujolais nouveau. On l'attend, sans trop savoir pourquoi parce que ça ne sert finalement pas à grand chose (la carte, pas le vote !), mais c'est une sorte de rituel !
Le 22 avril, le 6 mai, les 10 et 17 juin, j'irai voter, pour exprimer un choix, pour exercer mon droit, et j'espère que le plus de monde en fera de même.
Et pour ceux qui ne sont pas là, n'oubliez pas qu'il est aujourd'hui facile de voter par procuration !
Voici un petit mode d'emploi : Téléchargement Procuration
Rédigé à 19:01 dans The world we live in, Un peu de politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Qui n'a pas fredonné, entonné, chanté, hurlé l'une ou l'autre des chansons de la célèbre comédie musicale Starmania !?
Tous les passionnés vont pouvoir revivre ces moment de folies concoctés par Michel Berger et Luc Plamondon ce week-end à Moret, puisque la Compagnie du Confluent va réinterprêter les plus grands tubes de l'opéra rock le plus célèbre de France.
le 7 avril à 20h30 - le 8 avril à 15h00 et 21h00 - Salle des fêtes de Moret-sur-Loing.
Réservations sur billetreduc.com et à l'Espace culturel Leclerc du Breau. Et aussi au 09 81 60 20 21.
Rédigé à 08:15 dans Moret-sur-Loing et ses environs | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)