Une équipe de France 3 a suivi Jean-Louis Borloo sur quelques déplacements la semaine dernière et a présenté dans le 19/20 d'hier un portrait.
A retrouver sur ce lien http://jt.france3.fr/1920/, onglet "jeu 28", à la minute 14'32
« juin 2011 | Accueil | août 2011 »
Une équipe de France 3 a suivi Jean-Louis Borloo sur quelques déplacements la semaine dernière et a présenté dans le 19/20 d'hier un portrait.
A retrouver sur ce lien http://jt.france3.fr/1920/, onglet "jeu 28", à la minute 14'32
Rédigé à 16:48 dans Parti radical | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 13:00 dans Moret-sur-Loing et ses environs | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Le président du Parti radical, qui refuse toujours de dire s’il briguera l’Élysée en 2012, mène pendant la trêve estivale une campagne qui ne dit pas son nom. Multipliant les déplacements, il commence à élaborer les contours d’un programme, qui pourrait être centré sur le thème de l’éducation.
Selon son entourage, il pourrait se déclarer fin septembre-début octobre.
Pantalon en velours retroussé au-dessus des chevilles, Jean-Louis Borloo longe la berge du lac des Settons, dans la Nièvre, sans se presser. À l’allure d’un vacancier. Le président du Parti radical n’est pourtant pas tout à fait en congé. Son agenda, à défaut d’être celui d’un ministre depuis son éviction du gouvernement à l’automne, ressemble à celui d’un candidat en campagne.
Dans le Morvan lundi, il soignait son profil social en accompagnant des familles de la région Île-de-France qui ne partent pas en vacances. L’opération, menée par le maire de Montereau (Seine-et-Marne) et ancien ministre, Yves Jégo, proche de Jean-Louis Borloo, permet à des foyers modestes d’échapper à leur quotidien le temps d’une journée, en Bourgogne ou sur les plages normandes.
Sur place, la plupart ne le connaissent pas, mais les mieux renseignés n’hésitent pas à lui prêter des ambitions présidentielles. « C’est Jean-Louis Borloo, le candidat à l’Élysée », croit savoir Isabelle, une retraitée de Montereau. Le principal intéressé refuse toujours, lui, de faire part de ses intentions pour 2012, en dépit des sollicitations répétées de ses soutiens.
Quand on lui demande à quel moment il fera part de sa décision, il préfère éluder. Selon son entourage, il pourrait se lancer officiellement à la fin du mois de septembre ou au début du mois d’octobre. Soit juste avant la primaire socialiste.
Jean-Louis Borloo, qui a accéléré le rythme de ses déplacements depuis mai dernier, fait pourtant de plus en plus ouvertement mine d’être candidat. Mardi 26 juillet, il devait inaugurer le tout nouveau stade de Valenciennes (Nord), la ville qui a servi de rampe de lancement à sa carrière politique.
Après une semaine de répit au début du mois d’août, Jean-Louis Borloo poursuivra son marathon, notamment en Provence, au pied des glaciers alpins, sur le thème de l’écologie, ou en Île-de-France, à la rencontre de militaires. Et la rentrée de septembre, marquée par la préparation des élections sénatoriales, s’annonce chargée.
Le président du Parti radical, qui a trois livres en préparation, ne se contente pas de sillonner les routes. Il a mis sur pied des groupes de travail chargés d’esquisser un projet présidentiel, dont les contours commencent à apparaître. « La réforme majeure du quinquennat portera sur l’éducation. Plus qu’une réforme, une révolution », assure l’ancien ministre qui imagine déjà la convocation d’un Grenelle sur la question. « Savez-vous que 57 % des jeunes ont redoublé au moins une fois ? », demande-t-il à ses interlocuteurs, dénonçant un système qui « repose sur l’échec ».
Il reprend à son compte l’idée, suggérée par Yves Jégo, d’ouvrir les établissements scolaires 100 jours de plus par an. Une façon selon lui de relever le défi « de la formation et de la remise à niveau des jeunes en difficulté ». Le député, intarissable sur l’éducation, a déjà une liste de propositions en tête, comme par exemple celle « de faire élire les proviseurs par un collège électoral » qu’il juge « très moderne ». « Chaque pépite de la nation doit recevoir un traitement particulier », selon Jean-Louis Borloo qui veut atteindre 100 % d’une classe d’âge sortant du système scolaire avec une qualification.
Des obstacles se dressent encore sur sa route vers la présidentielle. Il mime l’indifférence lorsqu’on évoque les défections de parlementaires tentés de rejoindre le giron sarkozyste. « Ils ont tous un bon de sortie », assure Jean-Louis Borloo, précisant que « ça n’a aucune importance. Nous ne sommes pas une réunion de parlementaires ».
En revanche, sûr de son bon droit, il se montre plus véhément quand il s’agit de querelles financières entre l’UMP et sa formation. Le parti présidentiel refuse de reverser au Parti radical une dotation financière d’un million d’euros. « Si l’Élysée met autant d’acharnement à nous décourager, c’est le signe qu’ils ont peur », se rassure Yves Jégo.
La concurrence entre candidats existe aussi au sein de l’Alliance républicaine, écologiste et sociale, lancée il y a un mois autour du Nouveau Centre (NC) et du Parti radical. « Hervé Morin (le président du NC) et Jean-Louis Borloo sont tous les deux capables de faire de bons candidats, estime le député NC Jean Dionis du Séjour. Mais Jean-Louis Borloo a pour lui une plus grande notoriété et un plus long passé ministériel. S’il y va, sa candidature s’imposera. »
SIMON CARRAUD à Montsauche-les-Settons (Nièvre)
Rédigé à 15:49 dans Parti radical | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Enfin !!!!
FORÊT DE FONTAINEBLEAU, HIER APRÈS-MIDI. Plusieurs patrouilles de police ont réalisé une opération coup de poing contre les prostituées. Notamment à cause des dépôts d’ordures qu’elles laissent dans le massif.
La prostitution en forêt de Fontainebleau ne diminue pas. Les constats de racolage ou d’exhibition sexuelle ne suffisent pas pour l’enrayer. Du coup, cette semaine, le commissaire Claude Mazerolles a décidé de lancer de nouvelles opérations coup de poing. But : réprimer, PV à l’appui, les dépôts d’ordure illégaux découlant des activités des prostituées. Sans compter l’application d’un récent arrêté du préfet, qui interdit la possession d’objets pouvant provoquer des incendies, cigarettes allumées ou briquets. Le commissaire de Fontainebleau s’explique : « Depuis plusieurs semaines, mes hommes avaient constaté d’énormes dépôts d’immondices comprenant mouchoirs, lingettes, préservatifs en sous-bois. C’est inacceptable. Et si cela peut inciter les prostituées à partir ailleurs, c’est très bien. »
Des mouchoirs, des préservatifs en pagaille
Du coup, hier, une patrouille a passé plus d’une heure à harceler les prostituées sur ces points précis. Premier site visé, le secteur de Samois-sur-Seine, où la prostitution fait grincer des dents habitants et élus de la commune. La patrouille stoppe. Une Roumaine patiente au bord de la route. Le lieutenant qui coordonne l’opération va droit au but. « Vous salissez la forêt. Toutes les ordures doivent être mises dans un sac et remportées. On va vous dresser une contravention de 35 €. » La prostituée, qui parle trois mots de français, accuse sa collègue située plus loin. En vain. Puis deux autres sont prises à partie, côté Avon. Un emballage de restauration rapide, des mouchoirs, des préservatifs en pagaille. Et hop, c’est 35 € chacune. Un policier fouille leurs sacs. Bilan, des cigarettes et surtout deux briquets. « Ça, c’est interdit. Vous pouvez mettre le feu à la forêt! » Là, l’addition est plus lourde : deux fois 135 €. « Même si elles peuvent faire des recettes à 300 € ou 500 € par jour, cela va les faire réfléchir. De toute façon, elles fument toutes et on va revenir », souligne l’officier. Et la répression continue.
Sur la même départementale, une Roumaine de 20 ans reçoit aussi un PV. Elle veut régler sur-le-champ. Elle sort une grosse liasse de billets et règle les 22 € : « Je ne veux pas d’ennuis car, en 2010, j’ai été condamnée à 500 € pour exhibition sexuelle. » Près de la Croix-de-Toulouse, deux Camerounaises viennent à peine de laisser partir des clients. Elles montrent des sacs-poubelles. « On va les remporter. » Elles échappent à l’amende. En une heure quinze, la patrouille a dressé 10 PV.
Auteur : PASCAL VILLEBEUF
Source : Le Parisien
Rédigé à 09:13 dans Moret-sur-Loing et ses environs | Lien permanent | Commentaires (5) | TrackBack (0)
La Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) vient de rendre ses avis concernant les comptes des candidats pour la campagne des élections sur le canton de Moret-sur-Loing les 20 et 27 mars derniers.
L'élection faisant l'objet d'un recours et notamment sur des motifs de financement, les comptes des candidats du canton de Moret ont effectivement été traités dans un délai raccourci.
La transparence financière étant un élément clé de la vie politique, il m'a semblé important de faire état de la décision de la CNCCFP concernant le compte de ma campagne, puisque j'ai défendu les couleurs de la majorité présidentielle lors de ce scrutin dans le canton de Moret-sur-Loing.
Mon compte a été approuvé lors de la séance du 4 juillet pour un montant en dépense de 18794€ et en recettes de 18896€, soit 21% de moins que le plafond des dépenses autorisées (23703€). Merci à mon mandataire financier pour la rigueur de la tenue des comptes et à toute l'équipe qui a dépensé avec parcimonie et donc responsabilité.
Les conclusions rendues pour chacun des comptes sont communiquées au Tribunal administratif de Melun, juge de l'élection saisi du recours.
Rédigé à 18:38 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
POITIERS, 18 juillet 2011 (AFP) - Jean-Louis Borloo, candidat potentiel des centristes en 2012, a entamé lundi sa précampagne estivale à Poitiers où il s'est affiché au côté de Jean-Pierre Raffarin (UMP) avant d'interpeller le président Nicolas Sarkozy sur la crise de la dette.
Candidat à l'investiture de la Confédération des centres (ARES), l'ex-ministre de l'Ecologie et président du Parti radical (PR), doit s'affirmer sur la scène politique avant l'automne, date à laquelle il dira s'il est ou non candidat. Dans ce but, il a choisi de consacrer son été à aller sur le terrain à la rencontre des Français.
Première destination, le Futuroscope de Poitiers où il a retrouvé sur ses terres l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin dont il a été le ministre de 2002 à 2005 (Rénovation urbaine puis Emploi).
Jean-Louis Borloo a profité de ce déplacement pour interpeller le président Sarkozy en lui demandant dans un courrier de convoquer le parlement en Congrès pour "informer les Français" et "débattre de la crise" de la dette en Europe. Une manière de se poser en homme d'Etat en prenant les devants sur un sujet majeur pour le pays.
L'affiche Borloo-Raffarin avait de quoi séduire le député du Nord, ancien maire de Valenciennes, qui n'a jamais caché son ambition de réunir un jour tous les centristes de la majorité, qu'ils soient dans ou hors de l'UMP.
Si l'ex-Premier ministre revendique sans ambiguïté son appartenance au parti présidentiel, il a récemment déclaré qu'une candidature Borloo à la présidentielle "pourrait être utile", tout en soulignant que "s'il y a un risque Le Pen, Jean-Louis Borloo devra comprendre qu'il ne peut pas courir ce risque".
"Il aurait pu ne pas être là mais il est là. Avec Jean-Pierre, on a mené des batailles qui ont marqué ma vie. Par ailleurs, il a cette simplicité dans le regard sur les choses avec beaucoup d'acuité et un sens de la perspective", a salué M. Borloo devant des journalistes.
S'agit-il d'une main tendue? "Je le respecte trop pour être dans ce type de débat", a éludé l'ancien ministre. "Mais, d'une certaine manière, on rêve de la même France, respectueuse de l'autre, humaniste, convaincu que réconcilier, c'est mieux que diviser", a-t-il expliqué
"Il m'a toujours dit: tu sais Jean-Louis, Je pense qu'on aura besoin que tu parles et que tu parles haut et fort", a confié M. Borloo.
Est-ce un encouragement? "En tout cas, c'est de la bienveillance", a-t-il dit en s'amusant de ceux qui, à l'UMP, pensent qu'il ne serait plus fréquentable et qu'il "sentirait le soufre".
"Le soufre au bout d'un petit bout de bois, cela s'appelle une allumette. Et c'est très utile, cela sert à éclairer", s'est-il amusé.
En arpentant, avec son ancien ministre, les allées du Futuroscope, Jean-Pierre Raffarin a confié son plaisir d'avoir "retrouver un vieux camarade"
"C'est un accueil républicain. J'ai avec Jean-Louis Borloo des relations d'amitié et de loyauté. Il a été mon ministre et nous nous sommes bien entendus. J'ai apprécié sa finesse, son énergie, sa capacité à aller au bout des réformes qu'il menait", a justifié le vice-président du Conseil national de l'UMP.
"Je pense aussi qu'il est utile pour la vie politique nationale que le centre réfléchisse à sa plate-forme politique, à ses perspectives, qu'il doit y avoir un dialogue de respect entre les centristes de l'UMP et les centristes qui sont à l'extérieur", a-t-il ajouté.
"C'est à lui de porter son propre projet, de construire son propre parcours. Moi, je suis engagé dans l'UMP. Mais, il est clair que je trouve que sa démarche est estimable et respectable", a conclu M. Raffarin.
pr/mad/ei
Rédigé à 21:28 dans Parti radical | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Monsieur le Président,
La situation économique internationale, et notamment la dette souveraine des Etats, a atteint un niveau de risque critique supérieur à celui de la crise de 2008.
La dernière crise était caractérisée par une dissémination de l’endettement individuel des ménages, notamment aux Etats-Unis, dans un système financier et bancaire sophistiqué dont plus personne ne maîtrisait la réalité.
Les Etats européens et les Etats-Unis sont venus, à juste titre, au secours des économies et des peuples mis en danger par ce système scandaleux. Ils furent le rempart à toutes les dérives et ont sauvé le modèle économique et les épargnants des zones concernées.
Aujourd’hui ce sont les Etats eux-mêmes, derniers soutiens de la précédente crise, qui se retrouvent pris dans la spirale des déficits, mettant certains d’entre eux dans l’incapacité de financer leurs dépenses courantes, ou quand ils peuvent le faire, à des niveaux d’intérêts qui ne font qu’aggraver la situation.
L’endettement de la Grèce approche 170% de son PIB et son refinancement se fait à des taux insoutenables budgétairement et socialement. Le Portugal, l’Irlande, l’Espagne et l’Italie sont dans une situation de fragilité.
La France elle-même a vu son endettement progresser de vingt points depuis 2007, à 85% de son PIB. Un décret d’avance a été nécessaire fin 2010 pour financer les charges courantes de l’Etat, notamment pour honorer le traitement de ses fonctionnaires.
Les Etats-Unis, avec 14.000 milliards de dollars d’endettement, sont à leur tour dans une situation préoccupante et doivent obtenir du Congrès un relèvement du plafond de leur endettement et un plan de réduction des dépenses de 4000 milliards avant le 2 août pour éviter un risque de dégradation de leur notation sur les marchés.
L’interconnexion de tous les systèmes nous place devant un risque systémique majeur. Nous sommes à la fois face à une crise d’urgence, exigeant des réponses immédiates, et un problème structurel, qui nécessite des réponses de fond à moyen et à long terme.
Dans l’immédiat, les chefs d’Etat et de Gouvernement de la zone euro se réunissent le 21 juillet prochain pour parvenir à une décision concernant la Grèce. Les divergences entre les positions françaises et allemandes, concernant notamment la participation des acteurs bancaires et financiers, le mécanisme de rachat de la dette grecque et l’émission d’euro-obligations, doivent être surmontées dans un mécanisme durable, soutenable et applicable si nécessaire à d’autres pays. La France est engagée, les Français sont engagés dans le Fonds européen de stabilité financière (FESF) doté de 400 milliards d’euros.
Monsieur le Président, la situation actuelle n’est plus un problème technique ou budgétaire, mais engage la communauté nationale pour les décennies à venir. Les options prises ou écartées par le gouvernement influeront sur toute la politique économique et sociale de la nation. Comme telles elles doivent faire l’objet d’une information transparente et d’un débat démocratique, même si la période de l’année ne s’y prête guère.
Devant un tel risque de crise, devant de telles décisions, je vous demande instamment l’information de tous les Français, l’implication de tous les Français, à commencer par celle du Parlement. C’est la raison pour laquelle j’ai écrit au Premier Ministre afin que sur la base de l’article 29 de la Constitution le Parlement puisse être réuni au plus tôt en session extraordinaire.
Il me paraît tout aussi indispensable et urgent que vous utilisiez les nouvelles prérogatives ouvertes par l’article 18 de la Constitution, vous permettant de vous exprimez solennellement devant le Parlement réuni en Congrès.
Les Français ont besoin de savoir
- quel est le diagnostic que le gouvernement porte sur la situation actuelle en France, dans la zone euro, en Europe et dans le monde ;
- quelle est l’exposition précise des banques françaises, des institutions de retraites et d’assurance vie françaises, en Grèce et dans les autres pays de la zone euro en difficultés, car ils y ont mis leur épargne ;
- quelles sont les propositions que la France, présidente du G8 et du G20, compte formuler face à ce risque systémique, et quels engagements le gouvernement entend prendre au nom des Français ;
- si la France est prête à soutenir un plan coordonné de chaque pays européen pour revenir dans un délai compatible socialement à l’équilibre de ses comptes publics ;
- comment faire en sorte qu’il ne s’agisse pas d’une résolution dans l’urgence mais d’une véritable sortie de crise ;
- quelles sont les raisons qui l’amènent à écarter, en l’état, la participation à court terme du secteur banquier et financier ;
- comment seront précisément engagés les 400 milliards du Fond Européen de Stabilité Financière (FESF) ;
- quel est l’engagement de la France pour revenir dès le budget 2012 au petit équilibre, c'est-à-dire à moins de 3% du déficit public comme le connaissait la France en 2007 ;
- si la France soutiendra très fortement les solutions innovantes, comme les euros obligations et la taxation sur les transactions financières pour garantir le caractère soutenable de ces différents plans ;
- quelle est la position de la France dans la dissociation entre les activités de banque de dépôt et de banque d’investissement ;
- le soutien que la France entend apporter à la création d’une agence publique de notation européenne.
La soutenabilité de la dette souveraine des Etats, la stabilité financière internationale, la cohésion économique et sociale, l’existence même de l’Europe, sont des enjeux trop cruciaux pour faire l’objet d’un simple traitement technique. Il est temps que la discussion soit portée devant la Nation.
Veuillez croire, Monsieur le Président, en l’assurance de ma très haute considération.
Jean-Louis Borloo
Rédigé à 20:02 dans Parti radical | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Vendredi 8 et samedi 9 juillet, une équipe s'est installée dans les rues de Moret et sur les bords du Loing pour tourner un film, équipe à qui j'ai rendu visite.
Petite particularité : l'équipe était chinoise ! Et pour cause, il s'agissait d'une série retraçant la naissance du mouvement "Travail-Etude" en France dans les anées 20, dont de nombreux membres ont compté parmis les leaders communistes chinois par la suite.
De là à en faire un outil de propagande... Mais nul doute que sa diffusion sur CCTV dès cet automne donnera envie à quelques uns des 300 millions de téléspectateurs attendus de venir visiter la cité médiévale qui aura servi de décor au tournage !
Rédigé à 09:24 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
PARIS, 12 juillet 2011 (AFP) - Jean-Louis Borloo, qui pourrait représenter les centristes de la majorité à la présidentielle, s'est concocté un programme estival studieux, avec des déplacements hebdomadaires, pour peaufiner son image de présidentiable.
"Je suis déterminé. J'avance sereinement, insensible aux pressions", expliquait lundi le président du Parti radical (PR), candidat potentiel de l'Alliance des centres (ARES) en 2012.
Pour preuve de cette détermination, l'ancien ministre de l'Ecologie a assuré mardi à quelques journalistes qu'il ne prendrait pas de vacances, à peine une semaine de repos familial, pour creuser son sillon politique avant la rentrée.
Le patron des radicaux ne doit pas s'exprimer sur sa candidature avant la tenue des premières université d'été communes des partis de la confédération des centres, un rendez-vous fixé aux 10 et 11 septembre.
Interrogé sur le message de son marathon estival, l'ex-ministre d'Etat a lâché laconique: "je travaille". "Mais, j'en suis ravi. Les gens sont plutôt sympathiques avec moi, c'est plutôt agréable".
A raison d'un ou deux déplacement par semaine, Jean-Louis Borloo a choisi d'aborder durant l'été, des thèmes qui lui sont chers, la jeunesse et surtout l'Education (opération de remise à niveau scolaire, rentrée précoce d'élèves..). Il s'intéressera aussi à ceux qui ne partent pas ou travaillent pendant les vacances et abordera la question du tourisme durable.
Lundi, M. Borloo avait réuni certains de ses proches en Seine-et-Marne, chez le député Yves Jégo, pour un séminaire sur le calendrier de l'été mais aussi sur le programme du futur candidat.
"Sur le projet, on est assez au clair", explique-t-il, "reste à caler le degré entre la simplification des messages et la précision du projet".
Pour le soutenir dans sa démarche présidentielle, sa complice, l'avocate Valérie Lartigue, fer de lance des réseaux Borloo de Valenciennes (Nord), a relancé mardi l'association "Oxygène", créée pour les élections régionales de 1992.
"Ce sont des gens de la société civile qui veulent participer à la vie publique sans être encartés, qui ont envie durant la campagne, sur un projet, d'oxygèner la vie politique française", selon M. Borloo.
pr/mad/bw
Rédigé à 08:13 dans Parti radical | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
On le voit tous les jours dans les rues de Moret et des alentours, mais il n'expose pas si souvent. Pierre Eychard est pourtant cet été au Prieuré de Pont Loup et il ne faut pas le rater !
Les amateurs de peinture classique, et ils sont nombreux, apprécieront effectivement les toiles tout en finesse de ce maître du pinceau et du mot, qui n'a pas raté lors du vernissage de délivrer quelques messages bien pesés dont je livre ici une simple mais forte phrase : "on a remplacé la pensée culturele par un affairisme insupportabe". Les tenants de l'art contemporain version "officielle" s'y retrouveront certainement !
Prieuré de Pont-Loup, rue du peintre Sisley à Moret-sur-Loing
Juillet : vendredi, samedi, dimanche de 15h à 19h
Aout : jeudi, vendredi, samedi et dimanche de 15h à 19h
Rédigé à 17:57 dans Moret-sur-Loing et ses environs | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)