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Tous les arguments y sont pour défendre leur crédo : "la vie sans tabac, tel est notre combat". De la dépendance à la réduction de la durée de vie, du vieillisement de la peau au coût financier, les membres du Conseil municipal des Jeunes de Moret ont lancé une campagne anti tabac à leur façon.
La cigarette y est décortiquée, avec un résultat marqué au fer rouge : "le tabac t'abat".
Ils ont édité une petite plaquette à l'attention des enfants de la commune, qu'il est possible de se (re)procurer en Mairie.
Bravo à eux pour leur engagement en faveur de cette cause pas si facile, car il n'est pas aisé de se battre contre un "petit plaisir" même si sa vocation est de partir en fumée.
Espérons que tous passeront à côté et s'en tiendront à leurs bonnes intentions de jeunesse !
Rédigé à 17:14 dans Moret-sur-Loing et ses environs | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
A l'école élémentaire des Columières de Moret comme dans toutes les écoles de France, ce sont (presque !) les vacances.
Et comme à chaque veille des vacances d'été, l'école a fait la fête le week-end dernier, avec un petit pincement au coeur de fierté, d'angoisse et de nostalgie mêlées pour tous ceux qui, l'année prochaine, sauteront le pas pour le collège... de l'autre côté du gymnase !
Tous les enfants se sont donc donnés beaucoup de mal pour que la fête soit réussie, et... la fête fut réussie !
Très bonnes vacances à tous les élèves des Columières et à tous les élèves de France ! :)
Rédigé à 17:10 dans Moret-sur-Loing et ses environs | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
PARIS, 26 juin 2011 (AFP) - Le président du Parti radical Jean-Louis Borloo s'est prononcé dimanche contre la dépénalisation du cannabis et pour le mariage homosexuel et a estimé nécessaire de faire beaucoup plus qu'aujourd'hui pour réduire la dette en France.
"J'adorerais être pour la dépénalisation du cannabis mais je suis contre", a dit l'ancien ministre de l'Ecologie à "Dimanche soir politique" pour France inter/ITV/dailymotion/Le Monde. "Car, je ne pense pas que ce soit un bon signal", a-t-il expliqué en citant notamment la question de la sécurité routière.
"Sur le mariage homosexuel, ma réponse est oui", a poursuivi M. Borloo qui était interrogé par des journalistes sur des sujets de société.
"L'égalité, elle ne se discute pas. Je dis à mes amis de l'UMP, vous vous êtes déchaînés contre le PACS et en 2006 vous avez dit: +on s'est trompé+, et maintenant vous recommencez", a-t-il lancé.
Concernant la dette de la France, l'ancien ministre de l'Economie a estimé qu'il fallait faire "beaucoup plus pour (la) réduire".
"Il faut un programme de réduction de 20 à 25 milliards par an avec dans la constitution la règle d'or qui empêchera qu'un budget soit voté en France si on ne respecte pas cette règle", a-t-il expliqué en se disant "navré que l'on n'ait pas voté pas la suppression de l'exonération totale des plus values de filiales de groupe" qui aurait rapporté "entre 5 et 13 milliards".
M. Borloo a enfin estimé urgent de "réduire les charges pesant sur le travail". "On est dans un monde de flux et c'est donc sur les flux qu'il faut faire des taxes, a-t-il expliqué en donnant quelques pistes.
"La première, c'est la taxe sur les transactions financières. Le parlement a voté une résolution de principe et je pense que dans l'année on va finir par la mettre en place. Il faudra alléger le coût du travail avec cela", a-t-il dit.
"Nous avons aussi la taxe carbone européenne, une deuxième façon d'alléger les charges sur le travail. Nous avons aussi la taxe sur le fuel des tankers. On peut aussi agir sur la consommation... Ce qui est vrai, c'est que la réindustrialisation de notre pays est une absolue priorité", a-t-il fait valoir.
pr/kp/sd
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Par Pierre ROCHICCIOLI
EPINAY-SUR-SEINE, 26 juin 2011 (AFP) - Jean-Louis Borloo a présidé dimanche à Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) à l'officialisation de l'"Alliance" des centres, qu'il a présentée comme une "force anti-FN", en réaffirmant sa détermination à la conduire à la présidentielle.
Devant des tablées de militants réunis dans le parc de la mairie d'Epinay pour un banquet républicain, le président du Parti radical s'est montré tout sourire, ravi d'avoir "dépassé les 3.000 personnes".
"L'Alliance est fondée ici à Epinay pour les décennies qui viennent. C'est une force politique alternative entre un PS dépassé par les enjeux du 21e siècle et une UMP qui s'est rétrécie, incapable d'entrer dans l'action", a lancé Jean-Louis Borloo.
"J'en ai marre de la politique de dénonciation de l'autre et de la politique spectacle, nous avons une obligation d'action immédiate et concrète", a-t-il lancé, en présentant l'union des centres comme "la force anti-FN".
"C'est nous la force anti-21 avril, parce qu'on répond aux Français par l'action. Si on laisse s'affronter le vainqueur de la primaire entre énarques socialistes et l'UMP actuelle, je vous garantis qu'on aura un FN au second tour", a-t-il expliqué, en retournant l'argument de ceux qui l'accusent de favoriser une percée de l'extrême droite en divisant la majorité.
Un peu plus tôt, l'un de ses porte-parole, Dominique Paillé, avait taclé la droitisation actuelle de l'UMP. "Si la droite court après Marine Le Pen dans le même couloir, elle ne la dépassera pas", a-t-il lancé.
Les "vrais amis de Nicolas Sarkozy ne sont pas autour de lui, au gouvernement ou à l'UMP", a-t-il ajouté, en évoquant, sans les citer, ceux qui souhaitent sa défaite en 2012 pour mieux servir leur ambition présidentielle en 2017.
A la tribune, les patrons des partis fondateurs de l'Alliance (Parti radical, Gauche moderne, Nouveau Centre et Convention démocrate) ont martelé leurs détermination d'être présents en 2012, invoquant la symbolique d'Epinay, où le PS avait construit son union lors d'un congrès fondateur en 1971.
"Il aura fallu dix ans à François Mitterrand pour aller d'Epinay à la victoire, nous, nous avons dix mois", a dit Jean-Marie Bockel (GM).
"C'est le souffle d'Epinay. 40 ans après Mitterrand et par 40° à l'ombre. Ce souffle a un nom, Jean-Louis Borloo", s'est amusé Hervé de Charette (CD).
Jean-Louis Borloo a plusieurs fois assuré ne pas craindre les pressions de l'Elysée: après son lieutenant Laurent Hénart, Nicolas Sarkozy doit recevoir cette semaine Jean-Christophe Lagarde (NC). Mais ce dernier a assuré à l'AFP ne pas être preneur d'un porte-feuille ministériel.
"La nation centriste s'est reformée aujourd'hui à Epinay. Elle sera présente à la prochaine présidentielle et certainement pas pour faire de la figuration", a assuré Hervé Morin (NC).
"Nous avons un cap, une vision, des valeurs". Notre "force doit avoir un candidat à l'élection présidentielle", a réaffirmé Jean-Louis Borloo.
"Nous avons un calendrier: entre l'été et l'automne. Je ne le changerai pas. Se préparer, ce n'est pas hésiter, c'est respecter les Français", a-t-il dit, alors que les militants criaient "Borloo président!".
A l'arrivée du patron des radicaux, un groupe de musiciens avait joué la chanson de Johnny Hallyday "l'envie d'avoir envie". Dans les allées, des militants radicaux confiaient aux journalistes leur impatience de voir leur leader enfin se déclarer pour 2012.
pr/rh/df
Rédigé à 18:14 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
PARIS, 25 juin 2011 (AFP) - L'ancien ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo, candidat potentiel à la présidentielle de 2012, assure souhaiter "oxygéner la vie politique française" et dit ne pas craindre "les pressions de l'Elysée" contre sa candidature.
"Nous formons une nouvelle famille pour oxygéner la vie politique française", explique Jean-Louis Borloo dans un entretien au JJD à paraître dimanche, jour du lancement à Epinay-sur-Seine de la confédération des centres qu'il souhaite représenter à la présidentielle de 2012.
"C'est une force politique qui cherche à débloquer un certain nombre de points de crispation dans la société française", dit le patron du Parti radical. "En 2012, il y aura d'un côté les conservateurs de gauche et de droite qui pensent qu'il n'y a plus de solutions et de l'autre nous, une force indépendante, libre, audacieuse, extrêmement responsable", résume-t-il.
Interrogé sur l'absence de François Bayrou dans l'Alliance, Jean-Louis Borloo explique avoir déjà regroupé autour de lui "l'essentiel du centre et les équipes de Bayrou de 2007".
"Mais nous allons au-delà avec des gens de droite, de gauche, de la société civile", dit-il, citant en exemple "Rama Yade et Fadela Amara qui ne sont pas centristes".
Questionné sur sa candidature, il dit s'y préparer. "Le problème n'est pas de savoir si quelqu'un saute sur sa chaise en disant: +je veux être candidat!+ Le problème, c'est qui il est, quelles valeurs il porte et pour quoi faire".
Interrogé sur sa récente rencontre avec Nicolas Sarkozy, l'ancien ministre d'Etat explique être "suffisamment indépendant et libre dans (sa) tête pour pouvoir rencontrer Untel ou Untel".
Il dit par ailleurs ne pas avoir peur des pressions de l'Elysée: "j'essaie simplement de comprendre pourquoi ma démarche crée autant d'inquiétudes", explique-t-il en rejetant l'accusation de faire peser sur la majorité le risque d'un 21-avril à l'envers.
"La force anti-21 avril, c'est le choix, le débat... donc nous", rétorque-t-il. Il répète cependant qu'il se comportera "à tous les égards de manière responsable".
Enfin, Jean-Louis Borloo dit ne pas craindre la violence médiatique d'une campagne présidentielle. "Je ne crains rien (...) je ne me suis jamais déguisé. On ne va pas découvrir autre chose que ce que je suis, avec mes défauts et mes qualités. Je ne suis pas devenu lisse".
Rédigé à 23:08 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Wei Hai ; République populaire de Chine, province de Shandong. Le rapport avec Moret-sur-Loing ? Tout simplement la prouesse d'un homme, un morétain qui s'en est allé glaner les 11 et 12 juin derniers un brin de sensation et d'exploit de l'autre côté de la planète !
Les plus érudits profiteront de la première page de Sports Daily qui a consacré sa première page à Etienne Caprin, champion français de triathlon handisport qui est allé ramasser l'or au triathlon longue distance de Wei Hai.
Les autres, comme moi, se contenteront d'un petit résumé vidéo.
Et tous, en croisant Etienne dans les rues de Moret ou sur les routes du canton, n'oubliront pas de le féliciter !
Rédigé à 18:24 dans Moret-sur-Loing et ses environs | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
PARIS, 22 juin 2011 (AFP) - Le président du Parti radical, Jean-Louis Borloo, a livré mercredi sa vision des ressorts de l'élection présidentielle de 2012.
Invité de "Questions d'Info" LCP/France Info/AFP, M. Borloo a estimé que la présidentielle "se jouera sur la réponse très pratique, pragmatique, opérationnelle, aux quelques sujets assez simples que se posent les Français".
Elle se jouera également, a-t-il poursuivi, "sur une vision -la stratégie française pour l'économie et l'industrie pour les dix ans qui viennent-", ainsi que "sur une attitude et un mode de gouvernance apaisé et rassembleur".
Répondant à ces détracteurs, alors qu'il a décidé de se prononcer à l'automne sur sa propre candidature, l'ex-numéro deux du gouvernement a lancé: "Quand nous n'avez jamais exercé de responsabilités, on vous dit que c'est un handicap et quand vous les avez exercées pendant neuf ans, c'est un handicap!".
"Moi, a-t-il dit, j'ai le sentiment qu'avoir mené la bataille de l'emploi, la bataille du Grenelle de l'environnement, la bataille de la rénovation urbaine (...) veut dire que, quand je dis quelque chose, j'en connais les obstacles, les difficultés et probablement un peu la méthode".
Pense-t-il "pouvoir être le prochain président de la République?": "Si je le pense, je serais à ce moment-là le candidat entre l'été et l'automne, à ma démarche et au rythme et au calendrier que j'ai toujours annoncé", a-t-il dit.
Interrogé sur ses relations avec le président Nicolas Sarkozy, M. Borloo a reconnu "quelques tensions" pour les justifier. "Qu'il y ait des tensions, c'est naturel. On ne peut pas dire: +on crée une nouvelle formation politique+, sans que cela crée ou de l'incompréhension ou de la compétition ou de l'inquiétude", a-t-il expliqué.
"Il est normal que l'on se voit de temps en temps pour ajuster les tensions inutiles", a-t-il dit, ajoutant que, lors de leur dernier entretien, dont il n'a pas donné la date, tous deux s'étaient "dit ce qu'ils avaient à se dire, ni plus, ni moins".
A propos d'éventuelles pressions exercées par l'UMP, il a affirmé: "Elles ne sont quand même pas insoutenables. Il ne faut pas non plus exagérer!". M. Borloo a déclaré aussi "ne pas se sentir surveillé".
S'agissant de la possibilité que M. Sarkozy nomme au gouvernement des proches de M. Borloo à la faveur du prochain remaniement, l'ex-ministre de l'Ecologie a répliqué: "Moi, je ne fais pas un bunker! Je ne suis pas en train de dire: +si tu es avec moi, tu ne peux pas aller au gouvernement+".
sm/rh/er
Rédigé à 19:40 dans Parti radical | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
La fédération de Seine-et-Marne du Parti radical appelle à l'union des candidatures de la droite et du centre pour les élections sénatoriales de septembre prochain.
L'objectif clairement établi est de reprendre le siège laissé au Parti communiste lors du scrutin de 2004.
Le Parti radical souhaite qu'une liste d'union de la majorité puisse être constituée avec l'UMP selon un schéma respectueux des forces en présence, avec la 3ème place réservée à un centriste (organisation
comparable à celle retenue par l'union de la gauche).
Si l'UMP ne parvient pas en interne à convenir de cette solution, les Radicaux appellent les 2 candidats centristes déclarés, Patrick Septiers (Modem) et Gérard Ruffin (NC), à unir leurs forces dans le cadre d'une liste de la nouvelle Alliance Républicaine, Écologiste et Sociale.
La complémentarité de leurs parcours, de leurs implantations territoriales et de leurs implications politiques serait seule de nature à maintenir les chances de ravir le siège détenu actuellement par un communiste.
James Chéron
Président du PR77
Rédigé à 10:37 dans Moret-sur-Loing et ses environs, Parti radical | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Mise en examen pour escroquerie et recel de détournement de biens publics dans une affaire de trafics de bois et d'alcool, la 1ère adjointe de Champagne s'était déjà vue retirer délégation et indemnité, par le Maire qui s'e serait fait tirer l'oreille sur le sujet par le Sous-préfet...
Le Conseil municipal de Champagne s'est prononcé vendredi dernier et l'élue a été destituée de son poste de 1ère adjointe par 18 voix dont celles de l'opposition ; avec 6 contre et 4 abstentions issues des rangs de la majorité, l'opposition républicaine aura donc joué un rôlé clé et l'étonnement reste grand parmi la population sur une majorité qui ne sait pas complètement prendre ses responsabilités...
Car si l'affaire n'est pas encore jugée, l'élue aurait reconnu les faits et avait d'ailleurs fait l'objet d'une interdiction de séjour sur le territoire départemental pendant un mois !
Pour ceux qui ne s'en souviendraient pas, cette personne est toujours la suppléante du Conseiller général du canton de Moret-sur-Loing, fraichement élue en mars denier. Etonnament, le Conseiller général reste très silencieux sur cette affaire...
Ci-dessous l'article paru ce jour dans le Parisien. (pour lire, clic droit + nouvel onglet/fenêtre)
Rédigé à 12:01 dans Moret-sur-Loing et ses environs | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)