PARIS, 30 septembre 2010 (AFP) - Le décès de Georges Charpak, Prix
Nobel de physique 1992, est "une immense perte pour les scientifiques
de notre pays et au-delà", a réagi jeudi la ministre de la Recherche,
Valérie Pécresse, dans un communiqué.
"Sa disparition est une immense perte pour les scientifiques de notre pays et au-delà, pour tous ceux qui, comme lui, voient dans la marche de l'esprit scientifique l'une des meilleures raisons de garder confiance dans l'humanité, parfois envers et contre tout", déclare-t-elle.
Mme Pécresse salue également le "pédagogue infatigable", qui "pensait qu'enseigner c'est d'abord aider à découvrir", et rappelle que l'opération "La main à la pâte" a "essaimé dans les écoles primaires de plus de 30 pays".
Lancée en 1996, elle avait pour ambition de rénover l'enseignement des sciences en le fondant sur le questionnement, en transformant les enfants en expérimentateurs.
cls/bfa
"Sa disparition est une immense perte pour les scientifiques de notre pays et au-delà, pour tous ceux qui, comme lui, voient dans la marche de l'esprit scientifique l'une des meilleures raisons de garder confiance dans l'humanité, parfois envers et contre tout", déclare-t-elle.
Mme Pécresse salue également le "pédagogue infatigable", qui "pensait qu'enseigner c'est d'abord aider à découvrir", et rappelle que l'opération "La main à la pâte" a "essaimé dans les écoles primaires de plus de 30 pays".
Lancée en 1996, elle avait pour ambition de rénover l'enseignement des sciences en le fondant sur le questionnement, en transformant les enfants en expérimentateurs.
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