38 morts. C'est le bilan (malheureusement provisoire) du double attentat de ce matin dans le métro de Moscou, auquel il faut ajouter les 2 femmes terroristes kamikazes à l'origine des explosions.
Par delà l'horreur d'un tel massacre, je voudrais souligner combien ces procédés sont lâches. Un tel attentat n'est ni un acte politique, ni un acte de soldat, mais un crime odieux par nature indiscriminé qui révèle la lâcheté de ceux à l'origine de sa commission, qui n'ont d'ailleurs pas jugé bon de le revendiquer à cette heure.
Voici qui valide la nécessité de la permanence de l'engagement pour une société éclairée, démocrate, pacifiée, solidaire et juste.
Ma pensée va vers les familles et les proches des victimes, les personnels de secours et de sécurité, et vers les survivants dont le souvenir horrible de cette épreuve marquera à jamais les esprits et dont je partage la douleur.
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