Yves Jégo sera l'invité cet après-midi d'Yves Calvi dans l'émission "C'est dans l'air" sur France 5, à 17h40.
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Yves Jégo sera l'invité cet après-midi d'Yves Calvi dans l'émission "C'est dans l'air" sur France 5, à 17h40.
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Le MoDem 77 me parle beaucoup du Puy-de-Dôme en ce moment, résurgence d'un passé révolu... Mais le sujet ne me gêne pas, alors à mon tour de lui en parler.
Le candidat du MoDem aux élections municipales de Riom (Puy-de-Dôme), Michel Laurençon (Professeur d'université, Conseiller municipal), a du renoncer à se présenter après la diffusion sur internet d'une vidéo le montrant taguant des affiches de l'Ump. Il avait été filmé, une nuit de juin 2006, alors qu'il écrivait «fachos» et dessinait une sorte de croix gammée sur une affiche de la candidate de l'Ump aux élections législatives.
Une plainte avait été déposée par la candidate Ump et une enquête pour diffamation ouverte par le parquet. Entendu par les gendarmes, le conseiller municipal avait nié les faits ; la procédure judiciaire est toujours en cours.
"Est-ce si grave au regard de violences bien pires et toujours possibles en période de surchauffe électorale ?" s'interroge-t-il sur son blog (voir).....
Comme celà ne faisait pas assez désordre, Michel Laurençon a été remplacé en tête de la liste du MoDem par son épouse Angelika.
Voilà bien des drôles de méthodes qui montrent bien que le MoDem ne se pose vraiment pas en héritier de l'UDF, à laquelle beaucoup d'entre nous ont donné, mais jamais dans ces dispositions...
Alors mieux vaut ne pas donner trop de leçons !
Le débat ne sera de toutes façons que plus intéressant s'il porte vraiment sur un projet de vie et de ville. Du côté de mon équipe, nous continuerons à nous en tenir à cette rigueur.
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Yves Jégo sera l'invité de Laurence Ferrari dans le Journal inattendu d'RTL, demain samedi 22 décembre à 12h45.
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Créé par Edith Cresson à l'époque où elle exerçait des responsabilités européennes, le dispositif des Ecoles de la 2ème chance vient de trouver déclinaison dans le sud de notre département.
Comme Yves Jégo s'y était engagé il y a 5 ans maintenant, l'établissement vient effectivement d'ouvrir ses portes et 2 promotions sont déjà au travail. L'objectif est de procurer une formation aux personnes sorties du "système" éducatif, ceci en lien étroit avec le monde économique de sorte à garantir une bonne adéquation entre formation et perspectives d'emploi.
Si le lieu présenti pour l'installation a toujours été sur le territoire de Seine-et-Loing, l'école a pour l'instant ouvert à Montereau, de sorte à ce que le manque de réactivité des élus de ce secteur ne pénalise pas les élèves.
Présents lors de la présentation des 2 premières promotions samedi dernier, Edith Cresson, les responsables des Conseil général et régional, les administrateurs de l'E2C et les partenaires ont tous salué cette initiative montrant bien la volonté d'offrir aux jeunes toutes les chances d'accéder à l'emploi.
Voir le site de l'E2Csud77
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"Boire ou conduire, il faut choisir"
Les slogans sont déjà nombreux à nous avoir alertés sur les dangers de l'alcool ; mais la vertu pédagogique de la répétition est bien connue !
Si nous voulons tous nous retrouver après les fêtes, faisons en sorte d'être raisonnables ; celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas !
Voir le clip vidéo de la campagne Soufflez vous saurez
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Yves Jégo sera l'invité de Frédéric Taddeï dans l'émission "Ce soir ou jamais" sur France 3, ce soir à 23 heures.
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Des larmes, des huées, des ovations: la communauté internationale a lancé dans la douleur les négociations samedi à Bali sur le futur régime de lutte contre le réchauffement climatique, qui devront être bouclées en 2009.
Après un épuisant marathon nocturne et un dénouement mélodramatique de sept heures, ponctué de suspensions de séances qui en ont retardé encore la conclusion, la conférence climat de l'ONU a formellement adopté la "feuille de route de Bali" qui pour la première fois associe pays industrialisés et nations en développement à la réduction des émissions polluantes.
L'accord stipule que le processus de négociations qui fixera les suites à donner au protocole de Kyoto devra être lancé "dès que possible et pas plus tard qu'avril 2008", la première phase de Kyoto expirant en 2012.
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-Moon, revenu le matin sur l'île indonésienne pour appuyer la conclusion de l'accord, s'est dit "fortement encouragé". Le patron de la Convention climat de l'ONU (CNUUC), Yvo de Boer, assurant qu'il avait obtenu "exactement ce qu'il voulait: un cadre de travail, un calendrier et une date butoir".
Peu auparavant, face au risque d'échec, M. de Boer, épuisé pour n'avoir pas dormi deux nuits d'affilée, avait craqué à la tribune puis quitté la salle en sanglots, avant d'y revenir, acclamé debout.
Le plus haut responsable de l'ONU pour le climat, Yvo de Boer (G), Ban Ki-Moon et le président indonésien, Susilo Bambang Yudhoyono (D), à Bali, le 15 décembre 2007
Même si les ONG et les scientifiques jugent les ambitions de l'accord modestes et condamnent son "manque de substance" (Greenpeace et WWF), chacun se félicitait samedi d'avoir évité l'échec qui menaçait.
Pour leur part, les Etats-Unis, qui ont souligné les aspects positifs de "la feuille de route" de Bali, ont toutefois exprimé "de fortes préoccupations sur certains aspects de l'accord" estimant, dans un communiqué de la Maison Blanche, que "les principales économies en voie de développement doivent agir aussi".
Le texte élude toute référence chiffrée aux émissions de gaz à effet de serre et à la nécessité de les réduire, auxquelles s'opposaient les Etats-Unis.
A la place il souligne "l'urgence" en termes les plus vagues et renvoie par une note en bas de pages aux travaux du Groupe d'experts sur le climat (Giec): ceux-ci préconisent que les pays industrialisés réduisent de 10 à 40% leurs émissions d'ici 2050, ce qui "doit nous éviter de dépasser les 3°C" de réchauffement, estime le climatologue français Jean Jouzel.
"Avec ça on va pas cuire, mais on va chauffer", notait-il cependant.
Tout en leur ménageant un statut à part en tant que seul pays industrialisé à n'avoir pas ratifié Kyoto, (l'Australie l'ayant fait au premier jour de la conférence le 3 décembre), l'accord a la vertu d'enrôler les Etats-Unis dans les efforts à venir en les invitant à des "actions" plutôt qu'à des engagements. Même s'ils ont soigneusement "mis en scène leur ralliement", selon un délégué européen, après avoir menacé en séance d'un veto.
Pour dénoncer le faible engagement à leurs yeux des pays riches, les pays émergents, emmenés par l'Inde et la Chine, ont multiplié les incidents et réclamé davantage de soutien financier et technologique pour engager des "actions" de réduction de leurs émissions.
"L'accord de tous était difficile à obtenir et pas gagné d'avance", a noté le ministre français de l'Ecologie Jean-Louis Borloo. "Maintenant on peut rentrer dans le vif du sujet".
Hilary Benn, son homologue britannique, jugeait que "sans cet accord aujourd'hui, nous n'avions aucune porte par où passer" et évoque une "percée historique". Pour Sigmar Gabriel, le ministre allemand, "au bout du compte, personne ne voulait d'échec. Nous avons obtenu plus que nous ne pouvions l'espérer, même si c'est moins que nécessaire face à l'urgence du problème".
"Pour moi c'est une victoire américaine. Mais la bonne nouvelle c'est qu'il y aura quand même un siège pour le futur président des Etats-Unis autour de la table de négociations", a complété Hans Verolme, du WWF. "La maison brûle encore, mais au moins on a pu sauver les meubles", ajoutait Greenpeace-France.
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C'est à un étonnant voyage qu'Henry Gaudry nous a invité hier soir au Thalie Théâtre. Président de la Société Volcanologique Européenne, conseiller scientifique auprès des Nations Unies pour la réduction des risques volcaniques, c'est évidemment au gré des volcans qu'il a fait rêver les nombreux auditeurs ayant répondu à l'appel du Rotary Club de Moret.
Europe, Afrique, Antartique, océan Atlantique, Amérique du nord puis centrale et du sud, océan pacifique, Asie du sud-est, océan indien et enfin Moyen-orient avant un retour en Auvergne, aucun des grands ou petits lieux de la volcanologie n'a manqué à ce tour du monde en (un peu plus de) 80 minutes.
C'est les yeux pleins d'images de feu, de lave, de poussière, de glace, d'explosions que chacun est resté scotché aux commentaires éclairés (et adaptés !) du scientifique qui nous a retracé l'histoire et les petites histoires marquant chacun des nombreux volcans présentés, distillant quelques données scientifiques accessibles aux néophites venus rêver. L'occasion aussi pour certains de revoir quelques endroits visités lors de voyages !
Rédigé à 10:25 dans Moret-sur-Loing et ses environs | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Qu'est ce qu'un marché de Noël ? A mon sens, un endroit festif où l'on peut, en toute convivialité, se mettre dans l'ambiance des fêtes de fin d'année tout en faisant ses emplètes pour remplir le pied du sapin ou même l'assiette des convives ! C'est en tous cas le marché de Noël tel que je l'ai vu partout ! Partout sauf à Moret....
Pas de grand sapin, pas de musique, pas de lumière, pas d'animation, les exposants, courageux, ont vraiment été livrés à eux-mêmes sans accompagnement digne de ce nom.
Ceci contraste de façon criante avec le dynamisme affiché des moretains qui ont décidé, pour Noël justement, de s'exhiber sur un calendrier qui sera vendu au profit de l'association "Aujourd'hui, je m'amuse" et dont les bénéfices serviront à permettre aux enfants de familles défavorisées de bénéficier d'activités ludiques.
Dommage que la municipalité reste engluée dans une inertie dont même la chaleur de Noël ne peut la sortir....
Rédigé à 17:48 dans Moret-sur-Loing et ses environs | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)