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Rédigé à 15:41 dans Yves Jégo | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Après les annonces faites par Valérie Pécresse, après le retrait de l'UNEF, après les déclarations du Président de la République sur les universités et la recherche, j'ai souhaité donner la parole à un étudiant "victime" du blocage de sa faculté. Voici sa réflexion :
"1 mois après le début de la contestation étudiante sur la loi relative aux libertés et responsabilités des universités (loi LRU), des étudiants bloquent toujours certaines facultés.
Nombreux sont ceux qui se posent plusieurs questions dont celles de « pourquoi un blocage ? » « Y a-t-il eu des avancées ou des négociations avec la ministre de l’enseignement supérieur ou les présidents d’universités ? » etc. …
Etudiant dans une fac qui, depuis
trois semaines, est bloquée, je constate que les négociations entre étudiants et
direction de l’université sont au point mort. En effet, les assemblées
générales étant « souveraines », tous les débats et toutes les
négociations avec qui que ce soit doivent se dérouler dans ces assemblées
générales. Tout dialogue est donc impossible.
Au niveau national, Valerie Pecresse, ministre de l’enseignement supérieur, n’a de cesse de négocier avec les syndicats étudiants, faisant plusieurs pas en leur faveur. Néanmoins, certains leaders syndicaux restent réfractaires aux nouvelles propositions de la ministre malgré le retrait du syndicat UNEF de la contestation.
Pourquoi bloquer ?
« Tout simplement pour se faire entendre » vous répondront certains
« étudiants bloqueurs ». Oui, ils se font entendre ! mais peut
être pas pour leurs revendications mais plutôt pour les dégradations commises
sur le mobilier des l’universités ou les tags sur tous les murs des amphis
(plus de 90 000 euros de dégâts en 2 semaines sur Montpellier III). De
plus, les protestations s’élargissent : contre le CNE, soutiens aux
émeutiers de Viliers-le-bel, soutiens aux sans papiers … Ces agissements
décrédibilisent leur mouvement.
Les blocages sont votés selon une certaine règle pseudo démocratique où le vote à bulletin secret n’a aucune légitimité et ou jamais aucun chiffre n’est sorti des pseudo votes à main levé. Les anti-blocages sont unanimes pour dire que le mouvement a pris de dérives totalitaires ou seuls ceux qui prêchent la bonne parole ont droit de s’exprimer.
Par exemple : l’assemblée générale de l’université de lettres de Montpellier du 29 Novembre a duré près de 7h. 7 longues heures où les « bloqueurs » débattent entre eux sur ce qu’ils ont fait de leur semaine, de leur coordination étudiante … ceci afin de faire partir toutes celles et tout ceux qui seraient tentés de voter contre le blocage.
Ce triste constat est objectif, c’est celui de la grande majorité des étudiants qui ne souhaite qu’une seule chose, pouvoir reprendre le rythme normal de cours afin de rattraper le retard qui s’accumule depuis déjà 1 mois et préparer avec sérénité les examens qui approchent … très rapidement."
Rédigé à 11:25 dans The world we live in | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
Jeudi 29 novembre
Vendredi 30
novembre
Rédigé à 17:13 dans Yves Jégo | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Mardi prochain, le Comité exécutif du Parti radical élira son Secrétaire général. Celui-ci aura la mission, aux côtés du Président Jean-Louis Borloo, de conduire le Parti radical vers sa destinée : reconquérir l'espace central de l'échiquier politique.
Excellent Président des Jeunes radicaux de 1991 à 1997, élu de proximité à Nancy depuis 1995, Député impliqué depuis 2002, Secrétaire d'Etat à l'insertion des jeunes (2004-2005) entré au gouvernement "par hasard" et sorti "par erreur" (d'après le premier ministre de l'époque), Laurent Hénart me semble le candidat idéal. Il connaît parfaitement les rouages du parti et bénéficie d'une proximité avec Jean-Louis Borloo qui garantit les militant d'une direction homogène.
J'engage donc chacun des membres du Comex à soutenir activement la candidature de Laurent Hénart et à voter pour lui lors du scrutin de mardi prochain.
Pour en savoir plus sur Laurent Hénart et sa candidature : http://radicalaveclaurent.com
Rédigé à 17:05 dans Un peu de politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
PARIS, 27 nov 2007 (AFP) - Le porte-parole de l'UMP, Yves Jégo, a déclaré mardi que "le deuil ne se lave pas dans la violence", après les affrontements survenus dans le Val-d'Oise à la suite du décès de deux adolescents, dimanche à Villiers-le-Bel.
"La violence ne résout pas le deuil quelle qu'ait été la douleur bien compréhensible des familles. Il faut que nous sachions ce qui s'est passé à l'occasion de ce drame, mais il faut surtout que les habitants de ce quartier ne soient pas les victimes d'une situation de violence", a ajouté M. Jégo, dans les couloirs de l'Assemblée nationale.
"Je crois qu'il faut avoir vis-à-vis des auteurs de violences un discours de fermeté, rappeler que les violences sont inacceptables, mais rappeler aussi que rien ne justifie que des quartiers s'enflamment, que des voitures brûlent", a-t-il insisté.
Rédigé à 15:49 dans Yves Jégo | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Lors de sa réunion de samedi 24 novembre à Melun, le Comité départemental (77) de l'UMP a donné ses investitures pour les élections cantonales et municipales (villes de 10.000 à 30.000 habitants) en Seine-et-Marne.
En sus a également été annoncée l'investiture pour la ville de Moret-sur-Loing que l'UMP a décidé de m'accorder ; cette décision vient confirmer la demande qui m'avait déjà été faite par ce parti de mener une liste de la majorité présidentielle.
Rédigé à 18:14 dans Moret-sur-Loing et ses environs | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Yves Jégo sera l'invité d'Yves Calvi ce soir dans l'émission "Mots croisés" sur France 2, à 23h15.
Rédigé à 18:04 dans Yves Jégo | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
PARIS (AFP) - Avec la fin de grève contre la réforme des régimes spéciaux de retraite, le trafic est redevenu normal à la RATP et "quasi normal" à la SNCF, ont annoncé les deux entreprises samedi.
La SNCF prévoit pour samedi la circulation normale de tous les TGV, sept trains sur dix sur le réseau Transilien, deux TER (trains express régionaux) sur trois et deux trains Corail sur trois.
L'Eurostar et le Thalys circulent normalement, ainsi que l'ensemble des lignes de RER. Les interconnexions entre les RER A et B sont à nouveau assurées.
La SNCF prévoit un retour complet à la normale lundi.
A la RATP, le trafic est désormais normal sur l'ensemble du réseau métro, bus et tramway.
Les deux entreprises publiques de transports vont dédommager leurs clients, notamment en réduisant en janvier le prix des abonnements.
La SNCF au plan national et la RATP n'avaient pas connu de grève si longue depuis le conflit de 1995, qui avait duré trois semaines à la suite d'une première tentative de réforme des régimes spéciaux.
Nicolas Sarkozy s'est félicité vendredi de la fin de la grève en assurant qu'il avait "tenu" sa promesse de réformer les régimes spéciaux. Le Premier ministre, François Fillon, a estimé que la "stratégie" adoptée par le gouvernement dans ce conflit social était la "bonne".
Les négociations, prévues jusqu'au 18 décembre à la SNCF, se tiennent "sous le contrôle des cheminots", a prévenu le syndicat, qui "sollicitera leur intervention" si nécessaire.
A la RATP, les négociations reprennent lundi et dureront jusqu'au 13 décembre. Sud-RATP a finalement décidé d'y participer en tant qu'"observateur".
Les négociations sont sous pression, comme à Air France, qui a connu cinq jours d'une grève dure fin octobre des hôtesses et stewards. Plusieurs de leurs syndicats se sont donnés rendez-vous mi-décembre pour un bilan des discussions, en évoquant une possible grève pendant les vacances de Noël.
En marge du conflit, un cheminot de la CGT a été condamné vendredi à quatre mois d'emprisonnement avec sursis par le tribunal correctionnel de Thionville (Moselle) pour "dégradation volontaire".
Un autre cheminot et un chauffeur routier comparaîtront le 17 décembre devant le TGI de Nancy pour "entrave à la circulation ferroviaire".
Ces faits sont sans rapport avec les "sabotages" sur les lignes TGV dénoncées mercredi par la direction de la SNCF, qui a au total déposé 40 plaintes durant la grève.
Rédigé à 10:16 dans The world we live in | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
"Il est sans doute déja en train de faire danser les étoiles" ; avec ces mots, l'ancien danseur étoile Patrick Dupond nous rappelle que Maurice Béjart, décédé cette nuit à l'âge de 80 ans, sera toujours à la danse, quelque part, fut-ce au ciel.
Le chorégraphe du "Boléro" de Ravel (1960) disait ne pas craindre la mort car "elle est une certitude". "Je crois que l'on meurt toujours à temps (...) Le temps est compté différemment pour chacun, mais on meurt à temps", avait-il déclaré.
Le créateur de quelque 140 chorégraphies a suivi quotidiennement jusqu'à son hospitalisation les activités de sa compagnie. Il surveillait en particulier l'avancement du "Tour du Monde en 80 minutes", dont la présentation était annoncée pour le 20 décembre à Lausanne en première mondiale. Le spectacle devait ensuite partir à Paris en février 2008, puis en tournée mondiale.
Avec des mises en scènes parfois extravagantes, Maurice Béjart a emporté l'adhésion du public et l'a familiarisé, non sans mal, à la danse contemporaine comme à la musique concrète.Dénonçant rapidement un art "coupé des masses", Maurice Béjart a innové avec "Symphonie pour un homme seul" (1955), sur la musique d'avant-garde de Pierre Henry et Pierre Schaeffer. "On m'avait dit : 'vous allez faire fuir les gens'", se souvenait Maurice Béjart...
Il disait ne pas avoir "eu honte de faire beaucoup de mauvais ballets". "Sur la quantité, on jette, il n'y en a pas beaucoup qui sont bons, peut-être cinq ou six choses qui ne sont pas trop mauvaises", expliquait-il.
Rédigé à 15:02 dans The world we live in | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Une nouvelle association vient de voir le jour à Moret-sur-Loing. Dénommée « Aujourd’hui, je m’amuse », elle a pour vocation de contribuer au financement de sorties ludiques, de stages sportifs et autres au bénéfice des enfants de familles nécessiteuses de la ville.
Les statuts à peine déposés en Préfecture (le 9 novembre dernier), une première action est déjà lancée. En effet, les personnes déjà engagées dans l’association, dont de nombreux commerçants parmi lesquels Laurent Mouzat, Président, ont eu l’idée de réaliser un calendrier pour 2008 avec des illustrations thématisées sur les Personnages et commerçants de Moret-sur-Loing ; seront donc photographiés des volontaires, costumés et mis en scène au cœur du patrimoine de la ville. Les calendriers seront vendus dans les commerces de Moret.
Bravo et merci pour cette heureuse initiative en direction de ceux qui méritent le plus notre attention. Longue vie à l'association et... n'oubliez pas d'acheter l'un de ces calendriers !
Rédigé à 11:06 dans Moret-sur-Loing et ses environs | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)