20, 30, 35 ans : ces agents ont donné - et pour certains donnent encore - leur carrière professionnelle à Confluence Habitat, l'office pubic de l'habitat dont j'ai l'honneur d'être Vice-président.
C'est donc avec un grand plaisir que je leur ai remis les médailles et diplômes du travail à l'occasion du dîner de fin d'année organisé de main de maître par le Comité d'entreprise.
5 tours, une dalle, des locaux associatifs. Les tours Voltaire et terrasses d'Alembert, propriétés de Confluence Habitat, sont en cours de démolition.
L'ensemble immmobilier, devenu inadapté et dont tous les occupants ont été relogés, subit en ce moment des opérations de "grignotage", moins traumatisantes qe la dynamite mais tout aussi spectaculaires.
Le terrain, remblayé en partie avec les gravas des tours démolies, accuillera bientôt des logements de qualité et plus à même de répondre aux besoins actuels.
Le monde bouge, la société change, et Confluence Habitat avec !
Depuis 4 ans, les locataires des 3 "tours de grande hauteur" du patrimone de Confluence Habitat bénéficient d'un service aussi novateur qu'original initié par Yves Jégo : la présence 24/24 7/7 d'agents de proximité et de services ; ou agents de prévention et de sécurité, c'est selon.
Car leurs missions sont très variées, l'essentiel étant de veiller au bien vivre des locataires. Exit les trouble-fête dans les hall et les escaliers, finis les tags plus ou moins bien moches, oubliées les pannes d'ascenseurs à répétition ! Désormais le calme règne, et les APS sont là aussi pour les petites aides de tous les jours : la maman avec sa poussette ou la mamie avec ses sacs de courses trouvent là une aide précieuse qui concourt à recréer une ambiance conviviale dans ce qui constitue un véritable "village vertical".
Dans son édition du 26 avril, Le Parisien a mené enquête et recuilli quelques témoignages que je vous invite à lire ci-dessous :
Des agents qui travaillent 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 au service des locataires : c'est à Confluence Habitat !
Yves Jégo s'y était engagé, Yves Jégo l'a fait : les tours de grande hauteur (TGH) du patrimoine de Confluence Habitat sont, depuis maintenant 2 à 3 ans (en fonction des tours), sous la bienveillance permanente des "APS", des agents de proximité et de service qui se relaient non-stop afin de garantir tranquillité et sérénité dans ces bâtiments qui représentent de facto de véritables villages.
Avec un succès tel que les services de médiation et de police qui, fut un temps, étaient régulièrement appelés sur ces secteurs, peuvent désormais concentrer leur action sur d'autres activités.
Du coup, le système ainsi éprouvé et apprécié est désormais étendu à d'autres résidences (non TGH), selon le possibilités financières de l'office.
Comme je le fais plusieurs fois par an en ma qualité de Vice-président de cet Office public de l'habitat, je suis allé récemment, en compagnie notamment du Directeur général de Confluence Habitat (nuitamment réquisitionné pour l'occasion), faire une tournée nocturne du patrimoine et particulièrement des TGH afin d'évaluer, une nouvelle fois, la qualité et la grande utilité du service.
Près d'1,4 millions d'euros ont été attribués par le Conseil d'administration de Confluence habitat - que j'ai l'honneur et le plaisir de Vice-présider - à la réhabilitation en cours des 56 logements "Camus".
Les façades sont évidemment reprises, mais les appartements font également l'objet d'une véritable cure de jouvence : électricité et étanchéité, mais aussi les parties communes, les menuiseries et même les plomberies quand nécessaire, la rénovation est complète !
Car Confluence habitat s'attache, tout en relevant ses finances, à poursuivre à bon rythme les opérations de déconstruction / reconstruction et de réhabilitation pour assurer des conditions de vie optimales aux locataires.
Ci-dessous un article paru dans Le Parisien ce jour, montrant la réussite de la politique de proximité engagée par Confluence Habitat.
(pour lire en grand, clic droit + nouvel onglet/fenêtre)
Il y a quelques jours, j'ai présidé l'"Assemblée générale" de Confluence habitat ; un terme qui ne reflète en fait aucune instance statutaire mais l'assemblée informelle de tous les administrateurs et agents de l'Office public de l'habitat, démarche qui m'a semblé particulièrement utile alors qu'il est en pleine mutation.
Le nouvelle règlementation à laquelle Confluence habitat est soumise induit effectivement plus qu'un changement de nom ; les nouveaux "offices publics de l'habitat" sont donc désormais des EPIC (Établissements Publics à caractère Industriel et Commercial). Cela signifie un changement de comptapibilité, une organisation différente des relations sociales (disparition du CTP et du COS et création d'un Comité d'entreprise etc), une diversité des statuts des salariés.
Ce dernier point a bien sur fait l'objet d'interrogations de la part des quelque 120 agents présents, certains étant agents de la fonction publique, d'autres des salariés de droit privé. Le principe est le suivant : les embauches se font désormais selon les seules règles de droit privé ; les fonctionnaires auront le choix de conserver ou de changer de statut, éclairés par un conseil extérieur, avec un droit de retour après 2 ans puis 4 ans.
Les projets de rénovation urbaine ont également été abordés, impactant non seulement l'activité générale et financière de l'OP mais également le travail au quotidien des agents dans leurs relations avec les locataires.
J'ai tenu à remercier chaleureusement l'implication de chacun, notamment dans le cadre de la nouvelle organisation mise en place pour le traitement des demandes des locataires dont le contentement va croissant. Les enquêtes de satisfaction en cours nous permettront d'évaluer les points d'amélioration persistants.
